« L’Iran n’a jamais cherché et ne cherchera jamais à se doter de l’arme atomique », a déclaré il y a quelques jours le guide suprême de la nation, l’ayatollah Khamenei.
Iran
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Or & Matières Premières
Algues : le nouveau biofuel qui va remplacer le pétrole ?
par florentdetroy 12 janvier 2012Pourquoi l’Iran nous inquiète-t-il autant ? Je sais ce que la question peut avoir de dérangeant. Voilà maintenant plusieurs années que l’on nous répète inlassablement les mêmes arguments. Ils peuvent être résumés très simplement : Téhéran est une menace. Normalement, nous ne devrions même pas avoir le droit de poser cette question.
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Or & Matières Premières
Pétrole et gaz de schiste, une guerre pour 2012
par Cécile Chevré 10 janvier 2012Et si une guerre éclatait en 2012 ? Une guerre de l’énergie…
Dans les années qui ont précédé la Première Guerre mondiale, l’Europe s’est transformée en gigantesque champ de bataille diplomatique. Chaque futur belligérant cherchait à créer des alliances, conclure des traités de non-agression, de coopération etc.
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L’Iran est le quatrième producteur de brut au monde, le deuxième plus gros exportateur de brut de l’OPEP. Dans ses sous-sols : 125 milliards de barils, soit 9% des réserves mondiales connues. L’Iran, c’est aussi la deuxième plus grande réserve en gaz naturel qui soit. De quoi attiser les convoitises… Forcément, la Chine est sur le coup
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Il existe maintenant une autre source d’inquiétude, d’ordre géopolitique : les principaux médias US montent en épingle, sur injonction du Pentagone et de la Maison-Blanche, les "provocations" de vedettes rapides iraniennes dans le Golfe persique (certains communiqués officiels les qualifient même de harcèlement). Le petit jeu de la guerre des nerfs est pourtant une pratique courante dans cette zone depuis le début de des opérations militaires en Irak — et la disproportion des forces en présence rend presque comique la posture de victime de la marine américaine
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Les commentaires rassurants au sujet de la non-contagion supposée de la crise immobilière aux Etats-Unis — et de son corollaire, le subprime — sont désormais un sujet de moqueries. Ils concernent surtout le public le plus naïf qui se ruait ces derniers temps sur les technologiqueset le marché chinois. Certaines banques osent même — à l’image de Lehman Brothers — évoquer l’émergence d’un problème plus sérieux, plus global et d’une défiance générale des investisseurs plus préoccupante que celle occasionnée par la découverte de la faillite virtuelle du fonds LTCM en octobre 1998.