Liberalisme

La très attendue baisse des taux de la Fed ne changera rien à un système économique saturé.

La baisse des taux de la Fed, très attendue, n’est peut-être pas une si bonne nouvelle finalement.

La démission de Thierry Breton et les nouvelles nominations controversées ravivent les tensions au sein de la Commission européenne.

La Fed reconnaît la menace imminente d’une récession, un défi économique crucial dans un contexte électoral tendu.

Les tarifs douaniers nuisent aux consommateurs, au profit du Trésor public.

De quoi la chute de l’emploi et de la consommation aux Etats-Unis est-elle le symptôme ?

Selon la presse, l’inflation a été battue… La Fed peut reprendre ses bonnes vieilles habitudes – soutenir Wall Street, avec des crédits artificiellement bon marché.

L’or, les actions du secteur de la santé et les obligations à court terme pourraient vous aider.

A mesure que le stock de capital se détériore, les symptômes de la stagflation deviennent de plus en plus apparents.

Il n’y a aucune raison valable pour que la Fed se fixe un objectif d’inflation.

La droite européenne entretient une relation compliquée avec le libre-échange.

Des tomates à plus de 34 euros le kilo, et des agriculteurs qui se suicident.

La réduflation est une réponse rationnelle à l’augmentation des coûts induite par la dépréciation du dollar américain, dépréciation elle-même causée par la politique de la Fed.

Si les PDG des entreprises étaient réellement poursuivis pour leurs augmentations de prix, les Etats-Unis mourraient de faim.

Le bilan de la politique commerciale de la Commission d’Ursula von der Leyen est loin d’être impressionnant.

L’approche de l’UE consistant à instrumentaliser le commerce pour exporter des choix politiques détériore ses relations commerciales.

Et si les détenteurs de dettes se rendaient compte que la Fed n’allait pas vraiment lutter contre l’inflation…

Les prix à la consommation continuent d’augmenter à un rythme environ deux fois supérieur à l’objectif de la Fed.