Deep State

De la révolution à l’absurde administratif, retour sur la lente métamorphose d’un idéal en mirage.

Chaque crise, chaque guerre, chaque croisade morale a servi de prétexte à l’érosion progressive des libertés.

Quand la clémence présidentielle devient un instrument de pouvoir, la frontière entre justice, influence et corruption s’efface.

Les Etats-Unis semblent s’enfoncer dans une spirale où plus rien – ni le droit, ni la décence – ne fait barrage.

Une opération antidrogue de l’armée américaine en mer des Caraïbes aurait abouti à l’exécution de naufragés…

De la Maison-Blanche aux transactions en crypto-monnaies, l’argent malhonnête engendre une classe de plus en plus influente et corruptrice.

L’époque de la démocratie consensuelle est clairement révolue. Nous traversons une période de type république bananière/homme fort.

Les protocoles rigides et la centralisation extrême du pouvoir nucléaire créent un risque colossal…

Les politiciens américains jouent la même pièce depuis des décennies : prétendre que les riches ou les étrangers paieront…

Tandis que les puissants se moquent des règles et s’enrichissent au grand jour, la Fed imprime, les banques spéculent, et le peuple paie l’addition.

Entre vulgarité assumée et conflits d’intérêts affichés, la décence s’effrite – et avec elle, la confiance qui soutient la monnaie américaine.

Sous couvert d’IA patriotique, Alex Karp vend au gouvernement américain les outils de la surveillance totale — avec la bénédiction des marchés.

Alors que la dette explose et que le système institutionnel américain vacille, la Chambre des représentants reste paralysée.

Inflation, dettes, guerres, corruption : tout cela semble ralentir le monde… sauf pour ceux qui en tirent profit.

Dettes, inflation, guerres et manipulations économiques… Ces « erreurs » récurrentes profitent toujours à ceux qui les orchestrent.

Comment une république fondée sur la liberté et la responsabilité individuelle en est-elle venue à répéter les erreurs des empires déchus ?

Le gouvernement Trump ravive un vieux débat sur l’équilibre des pouvoirs aux États-Unis.

Chacun a prétendu « réparer » le système — en creusant encore davantage la dette, en manipulant l’argent, en achetant le pouvoir.