La fermeture de la fenêtre de l’or, en 1971, a ouvert une ère d’excès de crédit et de création monétaire dont nous payons – chèrement – les conséquences aujourd’hui.
produits dérivés
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Banques CentralesInvestissement
Banques centrales : le grand saut dans l’inconnu
par Bruno Bertez 15 juillet 2019Le système monétaire fonctionne dans l’opacité la plus totale et, en cas de problème – désormais inévitable –, les garde-fous ne serviront à rien.
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Banques Centrales
Les banques américaines toujours plus grosses et lestées de produits dérivés
par La rédaction 12 avril 2017Les grandes banques américaines ont soumis des plans de redressements insuffisants mais font pression pour que la réglementation soit allégée…
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Deep State
Ceci pourrait déclencher une nouvelle Grande dépression
par Bill Bonner 28 septembre 2016Clinton – Trump ? « De mauvais éléments », c’est peut-être la meilleure façon de décrire la scène : deux vauriens qui se donnent en spectacle… discutant de choses presque dénuées d’importance… prenant des poses, des attitudes, faisant semblant…
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EpargneIndices, marches actions, strategiesPhilippe Béchade
Séismes financiers et signaux visibles
par Philippe Béchade 9 février 2016L’actualité économique est porteuse de sombres présages… Avant de la commenter, toutefois, nos pensées vont aux victimes du tremblement de terre qui a dévasté le centre de Taïwan…
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Le principal souci des banques centrales est la bulle obligataire. CNBC et les autres medias financiers se concentrent sur les mouvements des actions, mais les obligations sont le socle de notre système financier…
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EpargnePhilippe Béchade
Goldman Sachs dicte ses conditions à la Fed
par Philippe Béchade 12 novembre 2013Une journée semi-fériée, sans statistiques, sans trimestriels, sans IPO… et surtout sans volumes (1,85 milliards d’euros échangés) : voilà les conditions idéales pour enclencher un algorithme haussier — une sorte de mise sur pilote automatique — qui a tracté le CAC 40 jusque vers 4 296 points d’altitude…
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EpargnePhilippe Béchade
La Deutsche Bank, maître ès produits dérivés
par Philippe Béchade 29 juillet 2013Personne ne sait au juste pourquoi le Dow Jones a perdu jusqu’à 140 points vendredi entre 16h et 17h (ou le S&P 500 -0,75%). Personne ne sait non plus pourquoi toutes les pertes ont été effacées comme par miracle à la dernière minute…
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Nous avons dîné dans un restaurant appelé le Gaucho, situé près de la rivière, dans le quartier de Southwark. Il est très stylé — et plein à craquer de clients quasiment tous jeunes, à la mode, urbains, prospères… des hommes en chemise blanche et cravate (ayant retiré leur veste)… des femmes serrées dans des robes élégantes.
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Inflation et récession
Produits dérivés : ce qui arriverait en cas de pari perdant
par Eric J. Fry 27 avril 2012Les produits dérivés financiers américains représentent à eux tous une valeur de plus de trois fois le PIB mondial, comme nous l’avons vu mercredi. L’histoire devient encore plus effrayante lorsqu’on regarde de plus près « de quoi sont faits ces produits dérivés ». C’est un méli-mélo de tout et n’importe quoi.
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Inflation et récession
Les produits dérivés : un risque représentant trois fois le PIB mondial
par Eric J. Fry 25 avril 2012Les produits dérivés sont « la viande et les produits à base de viande » des marchés financiers. Ils ont l’apparence, le goût et l’odeur des titres boursiers normaux mais quasiment personne ne comprend pourquoi nous en avons besoin avant toute chose. Après tout, qu’est-ce qui ne va pas avec la viande toute simple ? Plus important encore, pouvons-nous faire confiance aux marchés des produits dérivés ?
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Inflation et récessionPhilippe Béchade
Où sont passés les volumes boursiers ?
par Philippe Béchade 10 juin 2011▪ Pendant que les Etats-Unis laissent filer les déficits tout comme l’inflation, J.-C. Trichet évoque une « forte vigilance » concernant la stabilité des prix, ce qui préfigure à coup sûr un second tour de vis monétaire début juillet. Le taux directeur serait porté à 1,5% en Zone euro alors qu’il resterait inchangé à 0,15% (en moyenne) outre Atlantique et à 0,5% outre-Manche.
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Tout le monde semble avoir gobé l’idée de "reprise", mais nous restons très sceptique. Certains des chiffres semblent avoir repris du terrain. Mais ils restent épouvantables… et vont probablement entamer un nouveau déclin. Nous disons ça parce que les causes sous-jacentes de la crise ne sont toujours pas traitées… et parce que le gouvernement fait l’inverse de ce qu’il faudrait pour les traiter. Pour autant que nous puissions en juger, la plus grande injection de stimulants dans l’histoire de la race humaine a stabilisé le chômage US aux alentours des 10%… plus près des 20% si l’on utilise des critères un peu plus larges
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Epargne
Les CFD vous coûtent moins cher que d'autres produits dérivés
par Mathieu Lebrun 10 mars 2010▪ Aujourd’hui, donc, vous allez voir que trader avec des CFD vous revient moins cher qu’un trade avec d’autres types de produits dérivés tels turbos et warrants (produits que j’ai aussi, longtemps et beaucoup traités !). Les CFD, ou Contracts for difference, sont des produits dérivés qui vous permettent de profiter des variations des cours d’un sous-jacent sans avoir à le détenir. Vous traitez sur marge. Qu’est ce que cela signifie ? C’est tout simple
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L’une des inconnues, dans ce scénario d’apocalypse, est la performance des marchés de dérivés. Personne ne sait exactement ce qu’il y a dans certains de ces instruments… et personne ne sait comment ils se tiendront durant une crise. Nous savons une chose, ici à la Chronique Agora : ils ne se tiendront pas comme on l’avait prévu. Nous le savons parce que les suppositions sur lesquelles les produits dérivés sont basés sont, essentiellement, des absurdités
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Epargne
Petite histoire des hallucinations de ces trois dernières décennies
par Bill Bonner 4 février 2008David Fuller a raison. Ce que nous observons en réalité, c’est le déclin des Etats-Unis d’Amérique… de leur devise… de leur base de capitaux… et de leur compétitivité dans l’économie mondiale. Les politiciens peuvent essayer d’ouvrir de nouvelles lignes de crédit à des familles ne parvenant plus à joindre les deux bouts ; ce qu’ils font en fait, c’est leur donner la corde pour se pendre. Le vrai problème, c’est que les salaires américains n’ont pas suivi le rythme de l’inflation ; en d’autres termes, l’Américain moyen n’est plus aussi riche qu’il l’était. Il ne peut que faire semblant d’être riche
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Une chose est certaine : 2008 sera une année boursièrement difficile. Les marchés connaîtront des crises successives au gré des mauvaises nouvelles qui parviendront du front des crédits pourris et de la croissance mondiale. Et je n’ose pas imaginer ce qui arriverait si d’aventure la monstrueuse bulle spéculative qui enfle à Shanghai venait à exploser (un consensus ultra-majoritaire voudrait que rien de fâcheux ne se produise avant les Jeux olympiques de Pékin… mais rien n’est plus dangereux boursièrement que ce genre de "sentiment" unanime et qui relève du voeu pieux)
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Depuis l’origine de la crise, nous avons simplement prévenu nos clients et lecteurs que cette bulle spéculative colossale — qui concerne 900 milliards de dollars de prêts à taux variable, très risqués, auxquels nous pouvons ajouter 2 000 milliards de dollars si nous prenons en compte les tranches high yield (à haut rendement) de prêts plus classiques — rendait la situation globalement très explosive. Les banques disposent des mêmes informations et des mêmes méthodes d’analyse que nous. C’est la liberté de communication qui diffère