Une crise des marchés financiers est déjà un événement douloureux en soi… mais il ne faut pas oublier qu’elle provoque aussi des dégâts collatéraux, à surveiller de près.

Quelles créatures visqueuses se dissimulent sous les nouvelles en ce moment… et que nous disent-elles sur l’état de notre société actuelle – par rapport à ce qu’elle était il y a un siècle ?

Le dollar joue un rôle central dans l’architecture financière mondiale – même (et surtout) hors des Etats-Unis. Une position sérieusement remise en question actuellement.

La Fed et les autorités multiplient mesures exceptionnelles et déclarations fracassantes pour « sauver » l’économie. Le problème ? Elles font en réalité tout le contraire…

Nous sommes entrés dans un engrange fatal – les autorités auront-elles ce qu’il faut pour nous en sortir ?

L’épidémie se poursuit… et les autorités restent égales à elles-mêmes face à la menace. La sortie de crise – quand elle aura lieu – sera douloureuse.

Le confinement et les mesures d’urgence s’imposent – mais il est aussi essentiel de comprendre ce qu’ils signifient pour l’économie… et « l’après ».

Les investisseurs boursiers sont assommés… la fièvre monte… et les autorités arrivent à la rescousse avec leurs remèdes de charlatans.

Mourir est une certitude radicale – même si on en ignore le jour et l’heure. Il en va de même pour les crises monétaires…

Les inégalités – un mot très à la mode… mais qui mérite qu’on s’y intéresse d’un peu plus près afin de bien comprendre ce qu’est la réelle égalité.

Au mois de novembre dernier, le gouvernement a fait montre de son absence totale de détermination à régler le problème des zones de non-droit. Retour sur un cas d’école. Chanteloup-les-Vignes :…

La police est aux trousses de Bill Bonner… et pendant ce temps, les autorités américaines se lancent dans une politique suicidaire.

Pour stabiliser le système, il va falloir des sommes colossales… qui portent en elles le germe de nouvelles crises, encore plus graves.

Nous abordons le deuxième épisode de notre série « comprendre les crises majeures » – avec, aujourd’hui, le concept de contagion (c’est le moment ou jamais…).

Un vilain marché baissier s’est abattu sur la finance ; aux Etats-Unis, les baby-boomers en sont les premiers responsables… et les premières victimes.

C’est l’engrenage pour les puissants – ils ne peuvent plus revenir en arrière. La crise est désormais installée, sur un système fragilisé de longue date… et en dernier recours, c’est vous qu’on fera payer.

Une reprise reste possible sur les marchés… mais elle demandera des mesures sans précédent de la part des autorités. Et pendant ce temps, les libertés individuelles reculent.

Un bol d’air frais, pour se changer un peu les idées en ces débuts de confinement. Retour à la finance dès demain…