Tentative d’assassinat de Trump : acte isolé ou complot ?
Comment un jeune de 20 ans a-t-il pu déjouer un dispositif de sécurité qui représente des milliards de dollars pour tenter d’assassiner Donald Trump ?
Bill Bonner est le co-auteur de plusieurs best-sellers comme L’inéluctable faillite de l’économie américaine, L’empire des dettes et Hormegeddon. Dans son dernier livre, Gagner ou Perdre, il explore l’avancée de nos sociétés modernes, leurs hauts et leurs bas – et révèle en chemin la règle unique qu’une société doit suivre si elle espère progresser... tout en montrant ce qui arrive à ceux qui ignorent cette règle. En 1978, Bill a fondé Agora – désormais le plus grand réseau de recherche indépendante au monde. Il a lancé des entreprises partout dans le monde – dont les Publications Agora en France... emploie des milliers de personnes... a investi sur cinq continents... a acquis plus de deux douzaines d’entreprises... possède des centaines de milliers d’acres de terrain... parcourt plus de 150 000 km chaque année... et a lancé plus de 1 000 produits. Ses notes quotidiennes, publiées notamment dans La Chronique Agora, sont lues par plus de 500 000 personnes dans le monde – dont près de 40 000 en France. Bill s’est donné pour mission d’identifier les meilleures opportunités d’investissement – et de montrer où les investisseurs particuliers commettent les erreurs les plus coûteuses. En deux mots, Bill offre un regard lucide sur le monde de l’économie et de l’investissement -- un point de vue contrarien et sans concession, que vous ne retrouverez nulle part ailleurs.
Comment un jeune de 20 ans a-t-il pu déjouer un dispositif de sécurité qui représente des milliards de dollars pour tenter d’assassiner Donald Trump ?
Un ancien ambassadeur chinois aux Etats-Unis dévoile les signes inquiétants de la perte d’influence américaine.
Comme une grande rivière paresseuse, les déficits continuent de couler. Les paiements d’intérêts américains augmentent. Tôt ou tard, les détenteurs d’actifs s’enlisent dans la boue.
Les nations, les clubs, les tribus – presque toutes les formes d’associations humaines – ont besoin de mythes unificateurs. Aucun n’est absolument vrai. Mais certains sont plus faux que d’autres.
Dans les affaires comme dans la guerre, ou dans le mariage d’ailleurs, il n’y a pas de garanties. Les choses tournent mal. Les choses changent.
Il est devenu prioritaire de garder des liquidités, et de privilégier l’or plutôt que les actions ou les obligations.
La chose la plus simple à faire pour un investisseur actuellement est d’assurer ses arrières. Nous privilégions les liquidités et l’or par rapport aux actions et aux obligations.
Selon une étude de Brookings, l’éducation d’un enfant coûte 310 000 dollars. Vous pourriez dépenser beaucoup plus, mais on peut aussi dépenser beaucoup moins.
Les banques centrales pourront toujours financer leurs opérations. Mais elles ne pourront pas protéger la valeur de leurs propres monnaies.
Dans un pays de la taille des Etats-Unis, le « peuple » est bien trop éloigné de Washington pour avoir une réelle influence sur lui.
Des billions de dollars de dettes seront dévalués ou radiés. La fausse richesse disparaîtra. Les électeurs, déjà agités, aiguiseront la guillotine.
De la « mission civilisatrice » française à la montée des tensions autour de l’immigration, la France fait face à une transformation démographique et culturelle complexe.
Les mesures de Milei semblent porter leurs fruits.
Depuis 1999, la dette publique américaine a augmenté de 30 000 milliards de dollars, tandis que le dollar a perdu près de 90% de sa valeur par rapport à l’or.
Les budgets équilibrés sont devenus de l’histoire ancienne, les excédents commerciaux se sont transformés en déficits commerciaux, les jalons de la dette ont été posés…
L’économie soviétique était en grande partie factice, presque entièrement contrôlée par le parti communiste. Les déficits publics soutenaient une armée hypertrophiée, puissante sur le papier mais incapable de gagner une guerre.
Le fossé entre les élites américaines et les « petites gens » devient intolérable.
Lors du boom des Etats-Unis, les importations à bas prix ont fait baisser les prix à la consommation. Aujourd’hui, les immigrants sont prêts à travailler pour moins cher.