Alors que Joe Biden prend ses nouvelles fonctions, les distractions et les illusions abondent, dans une économie de jour en jour plus factice : le réveil sera difficile… si toutefois il a lieu.
Le nouveau président des Etats-Unis a pris ses fonctions.
On pourrait penser qu’il trouverait la tâche facile.
Il n’a que deux responsabilités majeures à garder en tête :
- protéger la liberté des citoyens ;
- protéger leur richesse.
Le reste n’est que détails… distraction… et (généralement) folies.
A qui la faute ?
Les distractions sont nombreuses, cependant… et les illusions sont plus répandues que les mouches domestiques.
Il n’y a toujours pas de mur à la frontière du Mexique.
En revanche, il y en a désormais un – grillage et barbelés – qui protège les initiés de Washington des outsiders du reste du pays.
Certains de nos lecteurs accusent les républicains d’avoir mis les Etats-Unis dans ce triste état. D’autres accusent les démocrates.
A la Chronique, en revanche, nous blâmons tout le monde… et personne à la fois.
Les oiseaux doivent voler. Les poissons doivent nager. Un empire dégénéré doit descendre de ses hauteurs, un faux pas à la fois. Chaque président doit encaisser la chute qui lui est assignée.
Bush avec sa Guerre contre la Terreur. Obama avec son renflouage de Wall Street. Trump et ses augmentations de dépenses, ses baisses d’impôts, ses guerres commerciales, ses chèques Covid-19 et autres abominations.
A qui la faute ? Faut-il blâmer le loup d’avoir mangé le mouton ? Sait-il même qu’il est carnivore ?
A présent… et tu, Biden ?
Le nouveau président n’est qu’un être humain. Il n’est probablement pas conscient du fait qu’il est censé détruire l’empire. Il fait juste ce qui lui vient naturellement.
Il écoute ceux qui l’entourent – les autres membres de l’élite du Deep State. Tous sont d’accord entre eux. Ils ont une liste de priorités.
La protection des citoyens et de leur propriété n’y figure même pas.
Economie falsifiée
Leur première priorité est de faire en sorte que l’économie factice reste debout. Le Morning Market, de Stansberry Research, commente :
« Janet Yellen, nommée pour le poste de secrétaire au Trésor US, a averti les législateurs que tout délai ou soutien insuffisant à la mise en place des plans de relance de Biden pourrait mener à des dégâts économiques durables. »
Une économie saine n’a pas franchement besoin d’injection régulières de fausse monnaie. Mais nous allons vous murmurer une révélation : l’économie américaine est un imposteur.
Les taux d’intérêts sont frauduleux. Les prix sont bidon. La production est affaiblie et pervertie. Tesla ne vaut pas vraiment 800 Mds$.
Les huiles de l’industrie financière ne gagnent pas vraiment leurs millions de primes. Le gouvernement fédéral ne peut pas vraiment se permettre d’envoyer des chèques de 2 000 $ à des gens qui ne méritent pas cet argent.
Le système entier est arrangé… dopé… et falsifié. Il ressemble désormais à un homme marié qui aurait une seconde famille cachée quelque part. Il doit maintenir ses mensonges.
Yellen & co. doivent maintenir leur fausse monnaie.
La transformation s’est produite sur de nombreuses années. A peine remarquée et rarement comprise, elle a néanmoins transformé l’économie US en une chose effrayante… grotesque et contre nature.
Au cours des siècles, l’humanité a appris que la planification centrale, la monnaie papier et les prix fixés par des bureaucrates se soldaient toujours par un désastre.
D’une manière ou d’une autre, l’élite américaine a oublié ces leçons. C’est comme s’ils avaient oublié comment on marche sur ses deux pieds sans faire traîner ses phalanges par terre en grognant.
A présent, les simiens sont aux commandes. Comme au zoo, ils se balancent, accrochés aux barreaux et, à l’occasion, lancent leurs excréments sur le public.