Subventions, dettes et illusions : l’Europe s’enfonce dans la croissance administrée
L’Europe persiste dans une économie sous perfusion, où la dépense tient lieu de stratégie.
L’Europe persiste dans une économie sous perfusion, où la dépense tient lieu de stratégie.
Alors que les constructeurs chinois grignotent des parts de marché, les groupes européens révisent leurs ambitions.
Les politiques protectionnistes, censées préserver l’industrie nationale, risquent surtout d’isoler ceux qui les adoptent.
L’Etat impose des normes qui faussent le marché, créent une demande artificielle et aboutissent à des fiascos industriels.
Les malheurs économiques de l’Europe sont en grande partie auto-infligés.
Les tarifs douaniers nuisent aux consommateurs, au profit du Trésor public.
La transition vers le « tout électrique » d’ici 2035 (10 ans) se présente de plus en plus comme une impasse.
Après un bref engouement pour les fausses promesses des véhicules électriques, la nouvelle arnaque verte est déjà en train de s’essouffler.
Le récent ralentissement du marché suscite des déceptions et remet en question les attentes initiales concernant l’adoption des véhicules électriques.
Le fantasme de la démocratie américaine est que le processus électoral permet d’éliminer les fraudeurs.
L’avenir nous dira si c’est une bonne stratégie pour les Etats-Unis de livrer une guerre commerciale à la Chine…
Et si c’était fait exprès ? Des données apparemment contradictoires se télescopaient, ce mardi 30 avril… et nous résistons difficilement à la tentation de recourir à la figure stylistique humoristique qui consiste…
Quel sera l’impact des barrières commerciales que les Etats-Unis souhaitent imposer à la Chine sur les consommateurs ?
Les cours boursiers sont aussi déséquilibrés que le reste du système – et la meilleure illustration est Tesla, qui souffre sur son propre marché, derrière Volkswagen et Renault.
