Retour de Trump : vers un bouleversement politique mondial ?
Un bouleversement peut en cacher deux autres (et bientôt plus encore ?).
Un bouleversement peut en cacher deux autres (et bientôt plus encore ?).
Les chances de victoire démocrate pourraient-elles être réduites à… « Peanut » ?
Entre accusations de fascisme, de dictature et de collusion avec la Russie, l’ex-président est décrit comme une menace pour la démocratie.
A l’approche des élections présidentielles américaines, les débats politiques s’intensifient autour des fusions d’entreprises.
La hausse forcenée des cours de Bourse est tout sauf une coïncidence.
Les républicains comme les démocrates sont favorables à un fonds souverain, qui ne ferait que transférer davantage de pouvoir et d’argent vers l’élite de Wall Street et de Washington.
L’économie réelle a développé une sorte d’immunité aux effets stimulants de l’argent bon marché. La dette augmente, mais l’économie ralentit.
Si les exportateurs veulent accéder aux clients américains, ils devront s’en tenir au dollar… ou s’exposer à des droits de douane de 100%.
On ne peut pas vraiment réduire les dépenses sans s’attaquer aux grands programmes de dépenses. Aucun des deux candidats n’est disposé à le faire.
La superproduction des élections américaines a connu des débuts difficiles. Cela aurait dû être une épopée bien-pensante entre démocrates et républicains. Le public ayant boudé ce genre banal, c’est une farce surréaliste qui a été produite par le Deep-State…
Renégat ou scélérat ? Aux Américains de choisir leur candidat. Pour autant que nous nous en souvenions, jamais encore une course à la Maison Blanche n’avait causé une telle consternation…
Le gouvernement est un fait. Il existe. Il est aussi commun que les acides gastriques. Il est aussi omniprésent que les poux et aussi inévitable que la vanité. Mais qu’est-ce ? Pourquoi existe-t-il ? Et qu’est-il devenu ?
Nous voici à quelques heures du dénouement d’un vote qui pourrait faire basculer le cours des événements — un vote qui nous est présenté comme une alternative entre le salut et le chaos, la misère et le redressement, le futur ou le retour au Moyen-Age. Oui un vote crucial pour… la Grèce.
▪ Que vouliez-vous qu’il se passe durant les quelques heures précédent la publication des trimestriels de titres pesant 25% de la capitalisation du Nasdaq ?
▪ Les investisseurs ne se sont guère montrés rassurés lundi par la déclaration du ministre des Finances allemand, Wolfgang Schäuble. Ce dernier estime que l’Espagne n’a pas besoin d’un plan de sauvetage — et ce le jour même où le MES voyait célébrer sa naissance officielle, couronnée par un triple A des agences de notation
▪ Peut-être assistons-nous à l’émergence d’un nouveau consensus psychologiquement confortable mais décorrélé de la réalité. Le secteur immobilier a touché le fond… la pierre retrouve des couleurs… l’embellie se dessine au coin de Wisteria Lane et les desperate homeowners (comprenez les propriétaires désespérés) peuvent retrouver foi dans l’avenir.
On constate des répétitions dans les mouvements haussiers et baissiers tous les quatre ans. Si on étudie le fameux Dow Jones depuis 1926, on constate ainsi que la progression de l’indice durant les deux dernières années précédant l’élection américaine a des rendements trois à quatre fois supérieurs — vous avez bien lu
Ce marché baissier brutal a-t-il finalement touché à sa fin ? Un nouveau marché haussier l’a-t-il remplacé ?… Seul Warren Buffet le sait. Le reste d’entre nous ne peut faire que des suppositions. Mais avant de nous perdre en conjectures, levons nos petits doigts en l’air pour tenter de savoir dans quelle direction souffle le vent des récentes tendances financières