Politique et vie quotidienne

Les manifestations des partisans de Donald Trump au Capitole sont peut-être un moment isolé… ou peut-être la première étincelle d’une année qui, dans le monde, pourrait se révéler chaotique. Depuis plusieurs années, la crise de nos démocraties représentatives est bien entamée, et rien n’exclut que l’insurrection américaine ne soit le début d’une longue série. Il faut dès maintenant réfléchir aux conséquences qu’un tel mouvement aurait en France.

2021 est fraîchement entamée, mais il reste encore pas mal de choses à dire sur 2020. Bill Bonner sort donc scie et scalpels, et se met au travail…

Pendant que l’Europe se recroqueville sur elle-même, de l’autre côté du monde, des accords se nouent et des perspectives se dégagent… Saurons-nous en tirer les bonnes leçons ?

Les acronymes se multiplient et se compliquent, du côté de la BCE : à quoi riment-ils et quelles sommes recouvrent-ils ? Et… comment va le secteur bancaire, avec tout ça ?

2020 restera dans les livres d’Histoire, cela ne fait aucun doute… mais comment qualifiera-t-on cette année « pas comme les autres » ? Et qu’attendre de 2021 ?

Le 10 décembre 2020, Christine Lagarde a expliqué pourquoi refaire encore plus de la même chose pour plus longtemps devrait marcher : bienvenue au PEPP !

Dans cet extrait de son nouveau livre, Gagner ou Perdre, Bill nous explique pourquoi le gouvernement ne peut être que gagnant-perdant.

2020 restera comme l’une des pires années depuis la défaite de Waterloo. La France a consommé une débâcle qui couvait depuis plusieurs années, et devrait sortir de cette crise dans un état pitoyable. Les années qui viennent devraient se traduire par une mise des épargnants au pilori pour retarder le plus possible le temps des ajustements inévitables dans la société française.

Le consensus veut que les actions sont « correctement évaluées » actuellement, étant donné que les taux d’intérêt sont ultra-bas. C’est une erreur fondamentale… et coûteuse.

Pourquoi vouloir toujours empêcher l’économie de suivre son cours ? Ne vaudrait-il pas mieux la laisser faire son travail, plutôt que tenter de freiner et d’entraver les mouvements de correction ?

La présidence de Joe Biden devrait lancer de nouvelles tendances économiques – notamment dans les domaines de la santé, de la politique commerciale et des relations entre les marchés et le pouvoir.

Le capitalisme déplaît aux élites – qui voudraient le manipuler et le plier à leur propre vision du monde. Cela ne se passera probablement pas comme elles l’entendent…

Les ratios clés indiquent tous des temps difficiles à venir – et c’est particulièrement vrai pour la France, où les politiques nuisibles vont sans doute se poursuivre.

Le Covid-19 est bien pratique : dématérialisation et confiscation sont au programme pour les monnaies papier – et la BCE est à la pointe dans le domaine…

Quel que soit leur bord politique, les initiés et les élites ont toutes le même but : s’arroger le plus de richesse et de pouvoir possible…

Steven Mnuchin, le secrétaire au Trésor US actuel, est allé « tirer les oreilles » de la Fed le mois dernier. Pas sûr que Janet Yellen, qui lui succédera peut-être, suive la même ligne de rigueur (si on peut appeler ça comme ça…).

Autrefois, les élites s’appuyaient sur la religion pour justifier leur pouvoir. Aujourd’hui, elles s’appuient sur la science – mais ce sont les mêmes systèmes qui sont à l’œuvre.

Le fossé se creuse entre les marchés et la réalité économique – mais ce n’est que la pointe de l’iceberg, concernant les problèmes auxquels la France est actuellement confrontée.