Ayons une pensée émue pour les « millionnaires nécessiteux ».
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Tous les signes d’un embrasement du conflit au Moyen-Orient sont là.
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Cette guerre s’avère elle aussi très inquiétante.
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La situation en Palestine est aussi bloquée qu’explosive.
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Les nuages s’accumulent de tous côtés, mais Wall Street « tient » toujours.
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Avec quatre guerres à l’horizon, doit-on s’attendre à ce que les marchés montent ?
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Et elle pourrait bien se transformer en krach si les investisseurs institutionnels lâchent pied avant la prochaine réunion de la Fed.
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Les actifs virtuels sont autant de feuilles mortes abandonnées par les marchés en ce début d’automne, alors qu’ils leurs préfèrent des actifs bien tangibles.
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Le quatrième trimestre vient réellement de commencer et, suite à l’annonce de la Fed, il prend la forme d’un automne boursier.
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Les marchés ont ignoré les problèmes des consommateurs durant le trimestre écoulé, mais ces problèmes ne vont pas s’arranger durant ce dernier trimestre de 2023…
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La prolifération de faillites ne présage rien de bon pour les Etats-Unis. Surtout quand de nombreuses petites banques voient leurs clients retirer de plus en plus de fonds.
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Dans l’accumulation de dettes, dans la réduction des réserves stratégiques, dans les bulles boursières…
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Les marchés sont en équilibre entre la falaise des cours boursiers et celle des anticipations de croissance et d’inflation. Attention à la chute !
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Celui de l’inflation, celui des coups d’Etat… mais aucune alerte en vue à la Bourse, où règne toujours un calme absolu.
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Imaginez un court passage en voiture électrique dans les bouchons de l’heure de pointe. Pure science-fiction… ou récit d’anticipation ?
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Les « bonnes mauvaises nouvelles » sur l’activité économique ont eu un impact intéressant sur le marché obligataire, qui pourrait représenter un bon investissement d’ici la fin de l’année.
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La meilleure manière de lutter contre les canicules semble, pour le gouvernement, d’inventer de nouvelles taxes.
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C’est autant que le montant accumulé durant les 209 premières années d’existence des Etats-Unis. Avec la hausse des taux, le poids des intérêts devient insoutenable.