Entre dettes, guerres inutiles et illusions politiques, la première puissance mondiale entre dans le dernier acte de son cycle impérial.

Voici le coût d’un « krach de l’IA », qui ne peut en aucun cas se produire…

Alors que la France s’enfonce dans un endettement incontrôlé, Bercy maquille la réalité en jouant sur les chiffres.

De Donald Trump à Zohran Mamdani, la politique américaine oscille entre populisme de droite et utopie dépensière.

La France dépense pour vivre, et vit pour dépenser ; près d’un euro sur deux versé aux ménages vient de l’Etat ou de la Sécurité sociale.

Contrairement à ce que pense Donald Trump, baisser les taux d’intérêt ne stimule pas durablement l’économie. 

Le pays tourne au ralenti, mais la Bourse, elle, bat record sur record.

Depuis vingt ans, Washington arrose l’économie d’argent facile. Résultat : une croissance gonflée à la dette…

Tandis que les puissants se moquent des règles et s’enrichissent au grand jour, la Fed imprime, les banques spéculent, et le peuple paie l’addition.

Les investisseurs doivent désormais privilégier la prudence, la liquidité et une diversification à toute épreuve pour préserver leur capital.

Entre vulgarité assumée et conflits d’intérêts affichés, la décence s’effrite – et avec elle, la confiance qui soutient la monnaie américaine.

Entre récessions, dépressions et krachs, il devient essentiel de distinguer les cycles économiques passagers des crises profondes et structurelles.

Sous couvert d’IA patriotique, Alex Karp vend au gouvernement américain les outils de la surveillance totale — avec la bénédiction des marchés.

Le 17 octobre 2025, après des rallyes haussiers impressionnants, les cours de l’or et de l’argent ont chacun entamé une correction.

Michael Burry l’a montré : quand le réel renverse le narratif, les banques centrales paniquent.

L’IA changera-t-elle vraiment nos vies ou ne s’agit-il que d’une nouvelle illusion boursière ?

Le succès d’un investisseur relève-t-il du hasard ou du talent ?

Derrière les exploits boursiers, les signaux d’alerte s’accumulent : dette, spéculation, déséquilibres… et une bulle prête à éclater.