Choc pétrolier : aussi dangereux à la baisse… qu’à la hausse
Le choc pétrolier actuel n’est pas le premier – ni le dernier : retour sur quelques cas passés et ce qu’ils peuvent nous enseigner.
Le choc pétrolier actuel n’est pas le premier – ni le dernier : retour sur quelques cas passés et ce qu’ils peuvent nous enseigner.
Si l’or grimpe, quelles valeurs en profiteront… et pourquoi l’asymétrie est-elle si importante pour les investisseurs ?
La prochaine crise sera bien plus sévère et bien plus longue que la précédente – et l’or pourrait vous aider à transformer les erreurs des autorités… en gains.
Les minières ont un cycle de vie bien précis – et les chiffres le prouvent : se positionner au bon moment permet de rapporter des gains réguliers et conséquents.
Les compagnies minières ouvrent des opportunités parfois spectaculaires – mais il faut comprendre leur cycle de vie, et savoir se positionner au bon moment.
Les conditions actuelles – sociales, économiques, monétaires, politiques – changeront tôt ou tard. Lorsque ce sera le cas, tout est en place pour qu’une catastrophe se déclenche.
Les valorisations boursières actuelles sont insensées ; les matières premières donnent la vraie mesure de la situation économique.
Passage en revue de matières premières géopolitiquement stratégiques, les terres rares, et de leurs perspectives dans le marché actuel.
Ces matières premières entrent dans la composition de bon nombre de biens indispensables à nos sociétés modernes, et la Chine en a le quasi-monopole : une opportunité se dessine-t-elle ?
Les risques de récession augmentent, mettant en danger les belles prévisions des banques centrales. Dans ce contexte, l’or et les minières tirent leur épingle du jeu.
Les matières premières bougent. Elles sont votre possibilité de gain le plus important pour les 10 prochaines années…
Les actifs financiers (actions et obligations) n’ont jamais été aussi chers face aux actifs réels (or et matières premières) depuis 1925…
Les actifs financiers (actions et obligations) n’ont jamais été aussi chers face aux actifs réels (or et matières premières) depuis 1925. Les « cygnes noirs » ou autres menaces planent…
L’ancien joueur de base-ball Jose Canseco affirme que tout le monde devrait investir dans l’or. Selon lui, nous verrons l’once atteindre 1 500 $ d’ici le Memorial Day, le 30 mai prochain.
Dernièrement, de nombreux analystes se sont posé la question : l’or a-t-il atteint son plus bas ? Aujourd’hui, je voudrais remettre en question cette question…
Lors du Symposium Sprott-Stansberry sur les matières premières qui s’est tenu il y a quelques jours à Vancouver, je m’attendais à trouver de nombreux investisseurs exubérants sur l’avenir des commodities. Après tout, le secteur des matières premières est celui qui a le plus souffert…
Aux cours actuels, plus aucune mine d’or, d’argent ou de platinoïdes n’est rentable sur la planète. Toute l’industrie minière subit le ralentissement de la demande de la Chine et — on l’oublie trop facilement — de la Corée du Sud, de Taïwan ou Singapour…
Le Dow a chuté en fin de semaine dernière. Ce n’est pas significatif en soi… mais le graphique montre une grosse bosse prenant la direction de la baisse. L’or est peut-être plus remarquable : il s’échange désormais 100 $ sous ce que nous pensions être le plancher. Pourquoi… ?