Les signes d’une crise budgétaire et probablement monétaire
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
La Fed amorce un cycle de baisse des taux. Quelles seront les conséquences sur l’épargne, les investissements et les secteurs clés de l’économie ?
Un bouleversement sismique va secouer les marchés financiers au cours du second semestre 2024.
L’or, les actions du secteur de la santé et les obligations à court terme pourraient vous aider.
La Fed a un énorme penchant pour les erreurs qui profitent aux groupes les plus puissants et riches… Sa prochaine erreur sera sans doute de sous-évaluer le prix du crédit pour les emprunteurs privilégiés.
Vous cherchez des solutions pour mettre votre capital plus en sécurité ? Avez-vous pensé aux obligations ?
Comme une grande rivière paresseuse, les déficits continuent de couler. Les paiements d’intérêts américains augmentent. Tôt ou tard, les détenteurs d’actifs s’enlisent dans la boue.
Depuis la dérégulation de la fin des années 1970, les périodes de courbe des taux d’intérêt plates – voire inversées – ont toujours annoncé des récessions.
Le nouvel argent est né sous une forme de crédit accordé par les banques, et non sous forme d’un actif. Il a été emprunté, à des taux absurdement bas, au lieu d’être gagné.
Oui, mais de quels taux doit-on parler ?
Si les taux bas privilégient les emprunteurs, les taux hauts sont du pain bénit pour les épargnants.
L’indice Dow Jones a baissé de 21%. Pour rattraper le sommet de décembre 2021, le Dow Jones devrait dépasser les 48 000 points. « Il va falloir faire des concessions. » – Le FMI…
Pourquoi la Fed est-elle si pressée de baisser ses taux durant une surchauffe, avant même tout signe de ralentissement ?
Powell arrive juste à temps pour faire éclore un printemps boursier.
Keynes a donné aux gouvernements l’excuse parfaite pour interférer dans l’économie. Les gouvernements pourraient-ils renoncer volontairement à un tel pouvoir ?
Les anticipations optimistes de baisse des taux d’intérêt sont remises en question, ce qui augmente le risque de correction des prix des actifs.
La hausse de l’inflation, les marchés vacillants et une grande perte qui se profile…
Les banques centrales sont-elles en mesure d’anticiper correctement l’inflation et d’ajuster leur politique monétaire en conséquence, malgré leurs erreurs de prévisions historiques ?