Or et marchés : l’actualité joue-t-elle contre votre portefeuille ?
Faut-il suivre le bruit ambiant ou s’en tenir aux fondamentaux ?
Faut-il suivre le bruit ambiant ou s’en tenir aux fondamentaux ?
Tout le monde veut investir sur les marchés boursiers pour profiter des rendements plus ou moins importants qu’ils offrent, mais personne ne veut être exposé au risque. Pourtant, l’un ne va pas sans l’autre…
Faut-il s’attendre à un rebond rapide… ou à une lente dégringolade comme dans les années 1970 ?
Les actions peuvent perdre de la valeur pendant des décennies et plus de la moitié d’entre elles ne génèrent jamais de rendement positif.
En 1925, on pouvait acheter une maison moyenne pour 300 onces d’or. Aujourd’hui, il n’en faut plus que 175.
Alors que la Fed a relevé ses taux d’intérêt pour juguler l’inflation, les marchés financiers ont défié toutes les attentes…
Les bulles financières gonflent et éclatent. Des cryptos aux actions surévaluées par la Fed, la richesse disparaît aussi vite qu’elle est créée.
Entre records boursiers, cryptomonnaies absurdes et avertissements d’experts, une question persiste : où se cache la prochaine grande perte ?
Un monde de « bruit et de fureur » ? Mais non, c’est « Goldilocks » !
Comme une grande rivière paresseuse, les déficits continuent de couler. Les paiements d’intérêts américains augmentent. Tôt ou tard, les détenteurs d’actifs s’enlisent dans la boue.
Cette opportunité, qui ne s’est pas présentée depuis plus de 20 ans, constitue la meilleure assurance anti-krach !
Mais qu’est-ce qui pourrait bien empêcher une 20e semaine de hausse ?
Ou le seul véritable pouvoir politique auquel le Congrès n’ose pas s’opposer.
L’apparition du variant Omicron n’est pas passée inaperçue sur les marchés financiers, avec un « Vendredi noir » aux relents de crise qui risquent de sentir très mauvais pour l’économie.
Les embouteillages et carambolages se multiplient dans l’économie réelle. Dans le même temps, tous les feux sont au vert… pour les marchés actions.
En ces temps d’argent facile, le bon sens et l’investissement par la valeur sont dépassés. Désormais, ce qui compte, c’est le prochain gros coup, LE secteur « disruptif », le placement qui rapportera toujours plus, toujours plus vite.
Les rachats d’actions, présentés comme une source d’abondance infinie pour les investisseurs, ne semblent plus aussi efficaces que par le passé… Le signe que le vent tourne ?
Une tempête ébranle l’économie chinoise en ce moment… mais elle reste sur une trajectoire ascendante. Ce n’est pas le cas des Etats-Unis, pour qui la prochaine crise pourrait bien être la dernière.