Comment conserver son patrimoine intact en cas de crise ? La réponse pourrait vous surprendre…
Grande dépression
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Banques CentralesLiberalisme
Comment prévenir les crises économiques ?
par Frank Shostak 19 janvier 2022La Fed a-t-elle été en partie responsable de la Grande Dépression qui a frappé les Etats-Unis dans les années 1930 ? Si c’est le cas, elle pourrait très bien causer une nouvelle dépression de la même ampleur, en appliquant les mêmes méthodes…
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actu géopolitiquePolitique et vie quotidienne
Présidentielle US : c’est parti ! (2/2)
par Jim Rickards 15 septembre 2020Jusqu’à… 30 ans avant la prochaine reprise économique ?! Les candidats à la présidentielle US ont du pain sur la planche pour relancer le pays…
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actu géopolitiquePolitique et vie quotidienne
Présidentielle US : c’est parti ! (1/2)
par Jim Rickards 14 septembre 2020La date cruciale se rapproche – mais la course s’annonce compliquée, avec une économie exsangue et un pays divisé. Que faut-il en déduire pour vos investissements ? Analyse…
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Le confinement permet de sauver des vies… mais on parle moins des morts qu’il pourrait causer – entre autres dégâts.
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LiberalismePolitique et vie quotidienne
Même terminé, le confinement ruine des entreprises (2/2)
par Ryan McMaken 12 mai 2020L’incertitude fait partie de la vie – pour les investisseurs, pour les entreprises, pour les citoyens. Essayer de la maîtriser a des effets considérablement nocifs.
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Politique et vie quotidienne
Même terminé, le confinement ruine des entreprises (1/2)
par Ryan McMaken 11 mai 2020Entre interventions gouvernementales et incertitudes générales, la vie des entreprises – et le sort de l’économie – est en suspens. Préparez-vous à des temps difficiles.
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Guerre CommercialePolitique et vie quotidienne
Les Etats-Unis, de retour dans les années 30
par Bruno Bertez 22 mai 2019Les déclarations et menaces de Trump évoquent la fameuse loi Smoot-Hawley et les « guerres commerciales » qui ont accompagné la Grande dépression.
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Inflation et récession
La Zone euro (et le système économique) doivent-ils être sauvés ?
par Eric J. Fry 28 octobre 2011Comme le dit le proverbe, « le moins est un plus ». Par conséquent, une solution à la crise de l’euro est celle que personne ne semble envisager : une douce insouciance. Ne rien faire du tout pourrait être la meilleure chose à faire, comme le suggère Jim Grant…
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Alors que l’an III de la crise s’ouvre dans nos pays riches — de dettes et de maux –, les enseignements légués par la Grande dépression sont votre botte secrète. Et ces actions, qui ont résisté à l’épreuve du temps, constituent le gage de votre prospérité. Tirer des leçons de la Grande dépression permet de sortir gagnant de la crise actuelle
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Regardons l’ensemble du tableau. Que diront les gens sur cette période dans 30 ou 50 ans ? Comment la décriront-ils ? Quelle sera la version communément admise ? Diront-ils qu’il s’agissait d’une reprise suivie d’une reprise ? Non. Cette histoire a été emportée par le vent. Alors quoi ? Peut-être diront-ils qu’il s’agissait d’une correction du cycle du crédit… une récession de bilan… comme dans les années 30. Peut-être… mais cette fois-ci, l’histoire va plus loin que dans les années 30. A cette époque, les marchés boursiers avaient mal tourné… mais le marché immobilier était encore sain et sauf. Le dollar valait encore de l’or. Des centaines de gouvernements locaux firent faillite, mais il ne fut jamais question de voir le gouvernement américain faire défaut… gonfler sa devise… ou la détruire
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Le Bureau américain de recherches en économie (NBER, National bureau of economic research) — organisme à but non lucratif basé à Cambridge, dans le Massachusetts, et chargé de donner des dates aux récessions depuis… 1929 — a déclaré que la Grande Récession s’était terminée en juin 2009
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Quelles nouvelles ces derniers jours ? La plus importante est la hausse de l’or, qui a atteint un nouveau record historique. Les actions, en revanche, stagnent ou presque. Qu’est-ce que ça signifie ? Eh bien, que le dollar baisse, pour commencer. Les obligations aussi. Le retournement attendu depuis si longtemps sur le marché obligataire est-il en train de se produire ? Nous n’en savons rien. Nous ne l’attendions pas aussi tôt, à vrai dire
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"Le temps, les dévalorisations, et les rééchelonnement de la dette pourraient être les seules portes de sortie pour de nombreux pays". Peut-être que la bourse le ressent de manière inconsciente ; cela expliquerait pourquoi elle montre cette espèce de désordre bipolaire financier qui règne depuis quelque temps. Cette semaine nous a apporté un autre épisode maniaque, propulsant les principaux indices de près de 3% et le Dow au-delà des 10 000, une nouvelle fois, sans raison évidente
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Vendredi dernier, on a appris que les ventes à la consommation avaient chuté aux Etats-Unis en mai par rapport au mois précédent. C’est-à-dire qu’elles ne vont pas mieux, au contraire. Cela n’avait rien d’extraordinaire — sauf qu’une reprise devrait être en cours. Et mai était un mois important. Parce que les plus grands efforts de relance prenaient fin. Les économistes voulaient voir comment l’économie se tiendrait sans le soutien du gouvernement
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Premièrement, le taux de chômage va grimper. Deuxièment, cette hausse du chômage augmentera les défauts de paiement, les saisies et les faillites. Pas uniquement au niveau des consommateurs — mais dans tout le système… y compris les banques, les états, les entreprises ainsi que les ménages. Oh… et une dernière chose : les obligations américaines pourraient s’effondrer. Mais attention, c’est là que les choses se compliquent un peu
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Lorsqu’on les a interrogés sur le rally de Wall Street, les participants à la dernière table ronde du magazine Barron’s avait divers points de vue sur sa vitesse et son ampleur. Mais tous étaient certains d’une chose : le pire est passé. Nous n’irons pas sous les planchers atteints en mars dernier. Cette reprise est réelle, pensent-ils… et il en va de même pour le marché haussier
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Le rebond actuel des actions est, selon toutes probabilités, un piège du marché baissier. Un véritable boom impliquerait une vraie augmentation des profits. Ca ne se produira sans doute pas. Les prix de l’immobilier américain approchent peut-être leurs plus bas — mais ils ont peu de chances d’entamer une nouvelle hausse considérable de notre vivant. Une fois qu’une bulle éclate… c’est en général terminé