Wall Street sous tension : Warren Buffett a-t-il eu raison de tout vendre ?
Wall Street devient si nerveux que certains se demandent si Buffett n’a pas eu encore raison.
Wall Street devient si nerveux que certains se demandent si Buffett n’a pas eu encore raison.
Selon la presse, l’inflation a été battue… La Fed peut reprendre ses bonnes vieilles habitudes – soutenir Wall Street, avec des crédits artificiellement bon marché.
Alors que les politiques se disputent le contrôle des richesses, le système démocratique s’effondre sous le poids des erreurs répétées.
La Fed a un énorme penchant pour les erreurs qui profitent aux groupes les plus puissants et riches… Sa prochaine erreur sera sans doute de sous-évaluer le prix du crédit pour les emprunteurs privilégiés.
La plus grande erreur que nous pouvons commettre est de penser que la Fed sait ce qu’elle fait.
Les crises sont des choses tout à fait normales. Les autorités fédérales ne font que les aggraver.
Il n’y a aucune raison valable pour que la Fed se fixe un objectif d’inflation.
Ce sera le « pire » qui envoie le Nasdaq au septième ciel.
Quatre baisses de taux se sont évaporées en quatre mois, mais le S&P ou le Nasdaq se payent 11 à 12% plus cher que le 1er janvier.
Voici venu le temps de la correction si longtemps différée…
Les prix à la consommation continuent d’augmenter à un rythme environ deux fois supérieur à l’objectif de la Fed.
Le nouvel argent est né sous une forme de crédit accordé par les banques, et non sous forme d’un actif. Il a été emprunté, à des taux absurdement bas, au lieu d’être gagné.
Où en est la Fed aujourd’hui ? Va-t-elle commencer à réduire ses taux comme Wall Street continue de le prédire ? La Réserve fédérale des Etats-Unis (Fed) a-t-elle tant d’importance…
Si les taux bas privilégient les emprunteurs, les taux hauts sont du pain bénit pour les épargnants.
Chaque dollar doit être financé. Les intérêts doivent être payés. Et chaque dollar augmente la pression pour des taux d’intérêt plus élevés.
Pourquoi la Fed est-elle si pressée de baisser ses taux durant une surchauffe, avant même tout signe de ralentissement ?
Les banques se sont enrichies. Le Congrès s’est enrichi. Les lobbyistes se sont enrichis. Et vous ?
Powell arrive juste à temps pour faire éclore un printemps boursier.