Objectif d’inflation de 2 % de la Fed : que du vent ?
L’objectif officiel d’inflation des prix de 2 % sans cesse revendiqué par la Réserve fédérale n’est guère plus qu’un slogan politique.
L’objectif officiel d’inflation des prix de 2 % sans cesse revendiqué par la Réserve fédérale n’est guère plus qu’un slogan politique.
La Fed a commencé à manipuler les cours des actions il y a une trentaine d’années. Depuis lors, chacun des ménages appartenant au 1% des plus riches a gagné environ 32 millions de dollars de richesse.
La baisse des taux de la Fed met en lumière des problèmes jusqu’alors sous-jacents, notamment aux Etats-Unis.
La très attendue baisse des taux de la Fed ne changera rien à un système économique saturé.
La récente baisse des taux de la Fed fait débat. Alors, bonne ou mauvaise nouvelle ?
La baisse des taux de la Fed, très attendue, n’est peut-être pas une si bonne nouvelle finalement.
La Fed soutient les marchés avec de nouvelles baisses de taux, masquant une montée préoccupante de l’endettement des ménages.
L’écart entre les valeurs réelles et les valeurs papier sera vraisemblablement comblé par une baisse de la valeur du dollar (inflation).
Une nation ne peut se permettre qu’un certain niveau d’endettement. Lorsque les limites sont dépassées, il faut bien que quelque chose se passe.
La Fed reconnaît la menace imminente d’une récession, un défi économique crucial dans un contexte électoral tendu.
Depuis des mois, Marc Lichtenfeld crie sur tous les toits que la Réserve fédérale ne devrait pas être pressée de réduire les taux d’intérêt.
Les grands banquiers voulaient pouvoir faire de gros paris sans risquer de se ruiner. Ils ont résolu ce problème en créant la Fed en 1913.
Wall Street devient si nerveux que certains se demandent si Buffett n’a pas eu encore raison.
Selon la presse, l’inflation a été battue… La Fed peut reprendre ses bonnes vieilles habitudes – soutenir Wall Street, avec des crédits artificiellement bon marché.
Alors que les politiques se disputent le contrôle des richesses, le système démocratique s’effondre sous le poids des erreurs répétées.
La Fed a un énorme penchant pour les erreurs qui profitent aux groupes les plus puissants et riches… Sa prochaine erreur sera sans doute de sous-évaluer le prix du crédit pour les emprunteurs privilégiés.
La plus grande erreur que nous pouvons commettre est de penser que la Fed sait ce qu’elle fait.
Les crises sont des choses tout à fait normales. Les autorités fédérales ne font que les aggraver.