dette

C’est le terrible aveu publié dans The Economist, suite aux faillites bancaires du mois dernier.

Les potentielles paniques bancaires ne sont pas un si grand problème. En revanche, deux autres problèmes bien réels réduisent les marges de manœuvre des banques.

Nous pouvons remercier madame Yellen pour l’hécatombe !

Taux d’intérêt négatifs, fausse prospérité et injustice pour tous…

Les pertes n’ont pas été aussi importantes que ce que nous attendions… Pour le moment.

Les arguments pour la réforme ne tiennent pas bien debout. La question des retraites est plutôt la suivante : qui veut-on protéger, les vieux ou les ultra-riches ?

Comment nos décideurs comptent-ils s’y prendre pour le restreindre ?

L’immobilier américain continue sa chute, Marx contre Lachmann, la division des élites et bien d’autres choses encore…

Le moment que nous avons tant attendu serait-il enfin arrivé ? La Fed aurait-elle changé de direction sans le dire ouvertement ?

Les tentatives de résoudre les problèmes de l’économie par des solutions tirées de l’imaginaire financier seraient-elles arrivées à leur terme ?

Bill répond à une demande régulière formulée par certains de nos lecteurs…

La dette et les déficits s’allient à la guerre et à l’inflation pour assaillir l’empire en place…

On n’en retrouve pas beaucoup dans les chiffres du PIB, le F-35 américain et un pronostic médical menant à un demi-siècle de repos sur une petite île grecque…

Bien équipés pour détruire des monnaies, abattre des ballons et faire exploser la dette…

Le niveau des dettes continue d’augmenter, malgré les politiques supposément restrictives des banques centrales. Y aurait-il encore de l’argent pour tout et tout le monde ?

Comment les dettes souveraines peuvent-elles absorber une inflation à 5% et la hausse des taux qui s’ensuit sans devenir complètement insoutenables ?

… il y en a plein le ciel des Etats-Unis !

Deux scripts, avec des héros et des vilains, l’élite et la plèbe, des gagnants et des perdants… Qui se déroulent d’une manière complètement prévisible.