Confrontée à un désastre économique, la France tourne le dos à la mondialisation (1/2)
Coronavirus et confinement ont plongé l’économie française dans la crise – mais le déclin avait commencé bien avant le 17 mars 2020…
Coronavirus et confinement ont plongé l’économie française dans la crise – mais le déclin avait commencé bien avant le 17 mars 2020…
Une génération apprend, la suivante oublie. Aujourd’hui, il va nous falloir réapprendre – dans la douleur – les leçons de l’Histoire monétaire…
Si Donald Trump est incapable de « rendre sa grandeur à l’Amérique »… et si une récession est en chemin… faut-il rester muet ? Faut-il rester sans rien faire ? Au nom de quoi ?
Les plans de relance, c’est bien beau – mais il faut aussi les financer. Qui a le genre de sommes nécessaires actuellement ? La réponse tient en un mot…
Voyage dans le temps et retour dans les années 1950/1960 aux Etats-Unis. Les choses ont beaucoup changé… et M. Trump a du pain sur la planche s’il veut « rendre sa grandeur à l’Amérique ».
Les taux négatifs permettent aux gouvernements de multiplier les dépenses et les déficits ; malheureusement, les dettes doivent être remboursées – généralement par le peuple lui-même.
Une chute radicale du dollar enlèverait une belle épine du pied des autorités américaines. Le problème, ce sont les conséquences sur le reste des gens…
Est-ce que les « vieilles » valeurs sont mortes ? Sommes-nous vraiment dans une « nouvelle ère » ? Ou bien est-ce que le réveil sera difficile ?
Les Etats-Unis dépensent à tour de bras – sans en avoir les moyens. Il faudra pourtant bien payer l’addition… et on sait qui passera à la caisse.
Pour l’empire américain, la menace ne vient pas de l’extérieur – mais bien des rangs mêmes de ceux qui sont censés diriger le pays.
Vive « l’espace budgétaire » ! Il permet toutes les largesses électorales – quel que soit le parti aux commandes. Dommage qu’il ne vienne pas sans effets secondaires…
Les Etats-Unis n’ont pas d’adversaire plausible… et pas d’argent pour financer de nouvelles dépenses militaires. Cela n’empêche pas le Marigot de faire son beurre…
Comment commence vraiment une crise des finances publiques ? Lorsque le manque de rentrées fiscales au mois le mois suscite des déficits imprévus.
Après 13 000 Mds$ de dépenses déficitaires, la reprise américaine est la plus faible de l’histoire. Mais plus de relance à crédit reste à l’ordre du jour.
Une limitation des déficits est cruciale pour préserver la confiance vis-à-vis du dollar. Un retour à l’étalon-or représente un moyen d’y parvenir.
Une limitation des déficits est cruciale pour préserver la confiance vis-à-vis du dollar. Un retour à l’étalon-or représente un moyen d’y parvenir.
La question des retraites des fonctionnaires masque un énorme passif de l’État. S’il remontait à la surface, les investisseurs en dette publique française pourraient s’effaroucher. Au programme d’aujourd’hui, les régimes…
Pour affronter la prochaine crise, les marges de manœuvre de politique monétaire sont inexistantes. Il restera la politique tout court. Nous avons vu le murmure la semaine dernière… aujourd’hui, l’explosion…