capitalisme

Le système mondial est au bord de l’écroulement. Pour tenter de le sauver, il faut que les Bourses grimpent, grimpent et grimpent… coûte que coûte.

Le capitalisme déplaît aux élites – qui voudraient le manipuler et le plier à leur propre vision du monde. Cela ne se passera probablement pas comme elles l’entendent…

La crise actuelle, les dérives du système, le cercle vicieux de l’endettement… tout peut se résumer en une seule courbe, qui ne semble pas près de s’inverser.

La dette abonde dans le système actuel, mais on oublie généralement de tenir compte du côté créance – le côté du capital, qui devient de plus en plus fictif, et pèse ainsi sur la vraie richesse.

Mark Cuban, milliardaire et hommes d’idées, a une suggestion à faire au gouvernement US. Peu importe qu’elle soit totalement idiote – elle est très populaire.

Il y a une faille dans le système – et elle accentue les dettes, les crises et les inégalités. Tous les « remèdes » des banques centrales n’y changeront rien…

La financiarisation de l’économie est incontestable, visible… et elle pervertit l’ensemble du système. Pourquoi ? Comment est-elle apparue ? Et comment peut-on la définir ?

Le contrat social est en train de céder… et dans un système corrompu, les élites ont recours aux mêmes vieilles méthodes pour préserver leur statut : elles préparent couteaux et fourchettes.

Le meilleur indicateur de la santé d’une économie capitaliste est en baisse constante… démontrant ainsi les limites du système. Quelle sera la suite ?

Le profit est à la fois la variable et le fondement du capitalisme : une vérité que l’on cherche à cacher… ce qui nuit à l’efficacité du système.

Les Etats-Unis ont franchi une ligne rouge avec la Chine – mais les tensions viennent de plus loin, et dépassent le « simple » conflit sino-américain : c’est le système tout entier qui est touché.

Le monde ne souffre pas d’un « excès d’épargne » comme l’affirment les élites – il souffre d’un manque de profitabilité du capital… que l’on cherche à vous faire payer.

La monnaie n’est ni neutre ni transparente, contrairement à ce qu’affirment certains ; et à mesure que les masses monétaires augmentent, la monnaie elle-même se déprécie.

La finance moderne a créé un système qui permet de ponctionner la richesse des autres – créant ainsi des rentes qui s’auto-alimentent… tout comme elles entretiennent le pouvoir des élites.

Le néolibéralisme actuel n’a plus rien à voir avec le capitalisme. Financiarisation et usure du capital règnent désormais, et leurs effets pervers sont en train de devenir visibles de tous.

On n’avait plus vu telle mobilisation de dette publique depuis les deux guerres mondiales. Pense-t-on vraiment que cela n’aura aucune conséquence ?

Il y a « trop de monde à table » dans le système économique et financier actuel. Le capital lutte pour sa survie, étouffant toute tentative de reprise et asphyxiant les citoyens.

L’épargnant est désormais l’ennemi mortel, pour les autorités : il empêche de mentir, de voler et de s’endetter – et doit donc être éliminé à tout prix…