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Le problème, avec l’histoire, c’est qu’elle est implacable. Chaque ascension s’accompagne d’une chute. L’une ne va pas sans l’autre.

Derrière les bénéfices pharaoniques de Nvidia, le marché repose sur une demande largement artificielle et un mur énergétique impossible à franchir.

Sur l’augmentation totale du PIB l’an dernier, les trois quarts provenaient des investissements dans l’IA et les technologies de pointe. Si on les retire, l’essentiel de la « croissance » disparaît.

Entre excès spéculatifs, volatilité masquée et valorisations délirantes, la sagesse de l’Oracle d’Omaha sonne comme un avertissement.

Voici le coût d’un « krach de l’IA », qui ne peut en aucun cas se produire…

Michael Burry l’a montré : quand le réel renverse le narratif, les banques centrales paniquent.

Les marchés explosent, l’or flambe, la Fed perd le contrôle et les investisseurs n’y voient que du feu.

Jamais la tech n’a paru si prospère – et pourtant, jamais elle n’a été aussi vulnérable. 

Des promesses d’immortalité biologique aux tentatives de sauver les marchés d’eux-mêmes, l’homme lutte contre les lois naturelles du cycle.

Sous un ciel d’Irlande saturé de pluie, les marchés mondiaux semblent suivre la même trajectoire : celle d’une tempête annoncée.

Entre signes de surchauffe boursière, contradictions économiques et excès de valorisation, le risque d’un retournement se précise.

Valorisée un milliard d’euros en 2021, la société McPhy est en faillite. Le cas n’est pas isolé…

Plus de la moitié de la capitalisation américaine repose sur du vent. Et la démocratie elle-même semble glisser vers un modèle autoritaire.

Ville paisible et prospère aujourd’hui, Amsterdam fut jadis le théâtre de l’une des premières bulles spéculatives de l’histoire.

Les schémas d’enrichissement circulaires, ou la spirale qui conduit au néant !

Ce volet aborde deux signes de l’exubérance monétaire : la hausse des actifs financiers et les sursouscriptions massives aux émissions obligataires.

Retour sur les grandes secousses financières des 25 dernières années et les leçons que l’on peut en tirer.

Et si la vraie crise couvait là où on ne l’attend pas ?