Banque centrale

Les « modèles économétriques » des banques centrales n’ont rien à envier à l’astrologie ou aux élucubrations des pythies grecques. La Fed est dans le brouillard et l’or va briller…

Faute d’inflation, la confiance dans les politiques monétaires conduites par les banques centrales s’érode et, dans ces conditions, l’or n’est pas (encore) cher…

Les banques centrales contrôlent de moins en moins la valeur de la monnaie. La perte de pouvoir d’achat engendre le populisme sur lequel elles n’ont pas de maîtrise. Huit ans…

La crise bancaire italienne va intensifier la guerre contre le cash, mais la libéralisation du cannabis ouvre des perspectives d’investissement…

Les banquiers centraux n’apprennent rien de leurs échecs répétés au Japon et en l’Europe. La Fed rêve de mettre les taux sous pilote automatique grâce à une formule magique. Préparez-vous au pire…

Les banques centrales perdent les pédales. Depuis 2008, elles avaient réussi à créer un « effet richesse ». La hausse des marchés financiers était leur triomphe…

Les marchés financiers mondiaux font face à une mer démontée. Les devises, les obligations et les actions sont extrêmement volatiles et toute reprise des cours est aussitôt suivie par une nouvelle baisse. Les marchés sont-ils totalement déboussolés ? Les facteurs d’influence traditionnels ne sont-ils plus valables ?

De par le monde, les politiques monétaires expansionnistes continuent de l’emporter sur les politiques monétaires restrictives. Chaque banque centrale ajuste ses taux en fonction de sa croissance, de son taux d’inflation afin de ne pas ralentir sa compétitivité par rapport à ses concurrents…

Une banque centrale peut-elle faire faillite ? Non. Mais une monnaie, oui. Depuis le début de la crise financière en 2007-2008, les banques centrales se sont substituées au fonctionnement normal des marchés financiers…

L’économie est une science factice. Plus on l’étudie, plus on apprend de sottises… plus on croit en savoir, moins on connaît vraiment le fonctionnement réel d’une économie. Voici pourquoi…

Distrait par la félicité conjugale, nous n’avons pas pu poursuivre notre campagne pour devenir président de la Fed. Pendant plusieurs jours, nous étions hors du bureau. Peut-être avons-nous manqué le coup de téléphone de M. Obama…

Nous sommes entrés dans les mois en « R ». Septembre, octobre, novembre, décembre. Coquillages et crustacés, c’est fini. Maintenant, il est temps de manger des huîtres… et de subir un bon vieux krach boursier…

Notre interlocuteur était un ami. Lui-même américain, originaire de l’Alabama, il a vécu en Argentine pendant 30 ans. Il a connu l’inflation des années 80… le boom des années 90… le krach des années 2000…

Le Carême est censé représenter les 40 jours que Jésus a passés à jeûner dans le désert. On commémore ces jours maigres par la prière, la méditation et la renonciation. En ce qui nous concerne, pas une seule goutte d’alcool ne franchira nos lèvres du Mercredi des Cendres jusqu’au Dimanche de Pâques…

Ces derniers jours, les actions grimpent… tandis que l’or baisse. Les analystes sont d’avis que nous ne sommes qu’au début d’une hausse majeure des actions. Les commentateurs sont du même avis.

▪ Tant qu’on est encore en janvier, avec son cortège de bilans et de rétrospectives, profitons-en pour voir comment va notre « Transaction de la Décennie ». En un mot : mal.

▪ C’est aux Etats-Unis qu’il faut être. C’est ce que tout le monde dit. Les Etats-Unis ont tous les avantages : une économie plus vigoureuse, une population plus jeune, de l’énergie meilleur marché… et une Banque centrale toujours prête à imprimer de l’argent quand il y en a besoin.