La BCE sera-t-elle toujours en mesure de protéger la Zone euro d’une crise de la dette ?
Les politiques « traditionnelles » de la BCE commencent à atteindre leurs limites – prochaine étape, les politiques non-conventionnelles. Et ensuite ?
Les politiques « traditionnelles » de la BCE commencent à atteindre leurs limites – prochaine étape, les politiques non-conventionnelles. Et ensuite ?
France, Italie… et tous les autres : la situation de l’endettement en Zone euro doit inciter à la plus grande prudence.
Les riches ont empoché la majeure partie de la création de richesse ces dernières années. Les classes moyennes, quant à elles, se retrouvent avec… la dette.
La dette grimpe de toutes parts – et les banques centrales luttent pour contrer leur effet négatif. Sont-elles suffisamment efficaces pour y parvenir ?
Personne ne semble s’en soucier, on l’explique et on la minimise… et pourtant, la dette US pourrait avoir des effets dévastateurs sur l’économie.
C’est l’explosion de la dette américaine – alors que l’économie est censée être en plein boom. Que se passera-t-il lorsqu’un ralentissement se matérialisera ?
Peu importe le nom qu’on lui donne, une injection de liquidités reste une injection de liquidités… et les marchés apprécient. Qu’en est-il de l’économie ?
L’Allemagne devrait remercier l’Italie – et pas pour les raisons que l’on pourrait imaginer. Et pendant ce temps, votre assurance-vie est en danger…
M. le Marché va là où il lui plaît d’aller… et cela risque de ne plaire ni aux investisseurs, ni au président des Etats-Unis. Tout sera donc fait pour entraver sa liberté.
Nous ne vivons pas dans un « monde normal » du point de vue économique – la dette publique et les taux d’intérêts bas n’ont plus l’effet prévu par les économistes.
Le « rendement » des fonds d’Etat n’en est pas un – c’est en réalité le coût de la dette des gouvernements : un principe fondamental pour comprendre la situation actuelle.
L’offensive des banquiers bat son plein… et c’est votre épargne que l’on envoie au front, pour se prendre une balle en pleine tête.
Le règne du dollar touche à sa fin… et ce n’est pas une conséquence mais bien le but des politiques monétaires appliquées par les banques centrales.
La financiarisation de l’économie a sa part de responsabilité dans la tourmente actuelle – mais elle n’est pas seule.
Quoi qu’on en dise, la financiarisation est une conséquence et non une cause des inégalités et des déséquilibres. Et ce n’est pas fini…
Le Portugal et l’Irlande illustrent deux aspects spécifiques de la crise de la Zone euro. A l’heure où l’Europe est fragilisée, retour sur ces deux pays – et leurs circonstances particulières.
L’enquête lancée contre Donald Trump – et qui pourrait déboucher sur une procédure d’impeachment – n’est que du bruit, dans un système financier de plus en plus déconnecté de la réalité.
Les joueurs du casino boursier ne peuvent perpétuellement se payer les uns sur les autres : il faut un apport de richesse réelle exogène, il faut des flux.
