Chronique

Confiné en Argentine, Bill Bonner se voit couper les vivres : va-t-il lui falloir manger des animaux de compagnie ?

Retour sur le Maryland d’il y a sept décennies… et comment les choses ont évolué depuis – à moins que ce soit nous qui ayons changé ?

Les lecteurs s’inquiètent de la sécurité de l’épouse de Bill… et pendant ce temps, les autorités américaines continuent de dépenser à tour de bras.

Une économie n’est pas une automobile que l’on peut régler, bidouiller et piloter à sa guise : un fait que les autorités américaines vont apprendre à leurs dépens.

Prise de risque, dur labeur et croissance réelle ne sont plus au goût du jour, pour faire fortune. A la place, copinage et trafics sont de mise…

Nous retraçons le destin d’une raffinerie de sucre en Argentine, qui a réalisé des choses qui seraient sans doute impossibles de nos jours…

Donald Trump, Argentine, problèmes cardiaques, civisme, pandémie, capitalisme de copinage, trahison… et Bill Bonner président ?

La police est aux trousses de Bill Bonner… et pendant ce temps, les autorités américaines se lancent dans une politique suicidaire.

Un bol d’air frais, pour se changer un peu les idées en ces débuts de confinement. Retour à la finance dès demain…

Une fois la dernière heure arrivée, que vaudra-t-il la peine de se remémorer ?

Avec ce nouvel extrait de son prochain livre, Bill Bonner se demande ce qui fait la civilisation… et comment on la perd.

Pour aujourd’hui, exclusivité : un extrait du prochain livre de Bill Bonner, encore inédit en France (et aux Etats-Unis).

En tant que consommateur, vous sentez-vous manipulé par la publicité ? Ou bien est-ce un moyen efficace, voire distrayant, de vous offrir ce que vous voulez ?

Les libertés ordinaires sont encore en vigueur aux Etats-Unis… mais à certaines conditions seulement.

Les Etats-Unis sont passés du statut de république à celui d’empire – et cela implique bien d’autres modifications qu’un simple changement d’échelle.

Donald Trump tempête, les investisseurs paniquent, les marchés chutent… mais l’essentiel n’est pas là.

Le système d’argent gratuit – le créditisme – a corrompu le capitalisme, l’économie réelle, la politique et les électeurs, c’est-à-dire nous.

Comment se fait-il que l’argent gratuit n’ait pas causé plus d’inflation ? Le créditisme va-t-il triompher du capitalisme au mépris de toute morale ?