Europe : Quand les politiques climatiques menacent la compétitivité industrielle
Les malheurs économiques de l’Europe sont en grande partie auto-infligés.
Les malheurs économiques de l’Europe sont en grande partie auto-infligés.
Les cours boursiers sont aussi déséquilibrés que le reste du système – et la meilleure illustration est Tesla, qui souffre sur son propre marché, derrière Volkswagen et Renault.
L’INSEE et le gouvernement tablent sur un fort rebond de l’activité économique au second semestre 2020 et en 2021. Mais comment sera-t-il possible alors que les mesures anti-économiques se multiplient ?
Volkswagen a falsifié les niveaux d’émissions de rejets polluants de la plupart de ses motorisations diesel — avec la complicité de l’équipementier Bosch. C’est pas beau de tricher, c’est pas beau de s’arroger un avantage compétitif indu, c’est pas beau de polluer la planète, soit…
Je dois avouer qu’une fois encore, ma naïveté m’a étonnée. Depuis 15 ans que je travaille aux Publications Agora, je devrais pourtant avoir l’habitude : mensonge, manipulations, dissimulation…
L’entreprise de M. Winterkorn, Volkswagen, fournit des véhicules à moteur au reste du monde — des millions de machines qui fonctionnent au moins aussi bien que les autres. Nous avons l’une de leurs petites camionnettes diesel au ranch. Elle nous sert beaucoup…
Les grand argentiers du G20, réunis à Séoul samedi matin pour la photo souvenir, arboraient comme d’habitude de larges sourires… inversement proportionnels à l’étroitesse des mesures concrètes annoncées à l’issue du sommet préparatoire à la réunion des chefs d’Etat des 11 et 12 novembre prochain. Le dollar a été pris de faiblesse dès la reprise des cotations ce lundi en Europe puis à New York. Cela démontre qu’au-delà de la posture d’autosatisfaction des membres du G20, aucune disposition visant à prévenir ou endiguer les stratégies de dévaluation compétitives n’a été évoquée, ni même envisagée
Porsche, le célèbre constructeur de véhicules de sport qui se targue d’être le constructeur le plus rentable au monde, vient de franchir le cap des 50% de détention du capital de Volkswagen. Ce dernier baignait dans une folle spéculation boursière depuis le début de l’année 2008, et avait vu son cours culminer à plus de 1 000 euros. Le titre a progressé de 900% avec des variations quotidiennes de 100%… 50%… 33%. Pourtant, vous le savez, le secteur automobile souffre terriblement. Comment expliquer ces performances
Afin de bien mesurer la dimension mondiale de la crise, ainsi que sa violence, sachez que si certains indices boursiers asiatiques ont chuté de 60 à 75% cette année (autant que le pétrole en fin de semaine dernière), il y a bien pire, voire de l’inédit
Nous pensions avoir vécu beaucoup d’événements boursiers grandioses ou grotesques, ébouriffants ou pitoyables, incongrus ou surréalistes… mais si vous rassemblez tous ces épithètes et que vous essayez d’inventer un successeur au vocable "abracadabrantesque", vous risquez fort d’être encore en dessous de la vérité s’agissant du scénario que nous allons vous narrer dès le prochain paragraphe ! Nous venons tout simplement d’assister au corner du siècle sur le titre Volkswagen
Pourquoi le seuil des 3 085 points — qui correspond à une division par deux du CAC 40 par rapport à son zénith des 6 170 points de juillet 2007 — n’a-t-il pu être préservé ? Est-ce la peur de voir Wall Street rechuter sous de nouveaux planchers annuels (c’est hélas bel et bien le cas) ? De voir de nouveaux pays faire faillite aux portes de l’Europe — et y compris certains de nos fournisseurs — ? De voir les hedge funds continuer de se faire hara-kiri