L’Europe est fragile – pire encore, elle est vassale. Donald Trump exploitera la moindre faiblesse, et le « couple » franco-allemand n’y survivra pas.
USA
-
-
Banques CentralesDeep State
L’Union européenne et le “club anti-dollar”
par Bill Bonner 6 novembre 2019Pendant que Donald Trump est aux prises avec le Deep State, une tendance inquiétante pour l’hégémonie monétaire américaine se dessine dans le reste du monde.
-
Les libertés ordinaires sont encore en vigueur aux Etats-Unis… mais à certaines conditions seulement.
-
Deep StateDefaut américain
La Maison Blanche a-t-elle tort sur tout ?
par Bill Bonner 24 juillet 2018C’est officiel. La Maison Blanche elle-même a annoncé que sa baisse d’impôts n’a pas accompli ce qui en était attendu.
-
Les Etats-Unis se retirent de l’accord international sur le nucléaire iranien – mais les marchés tiennent bon…
-
actu géopolitiqueGuerre CommercialeGuerre des monnaiesPolitique et vie quotidienne
Comment jouer la carte de la guerre commerciale contre la Chine
par Jim Rickards 23 mars 2018La guerre commerciale USA/Chine est bel et bien déclarée… mais les Etats-Unis n’ont pas encore dégainé “l’arme atomique” (purement juridique) pour ce genre de conflit…
-
Guerre des monnaies
Commerce USA/Chine : les problèmes persistent et deviennent explosifs…
par La rédaction 15 juillet 2014Le déficit américain par rapport à la Chine n’a que légèrement diminué pendant la crise mondiale et s’établit actuellement à environ 320 milliards de dollars par an.
-
Inflation, dettes et récession
Etats-Unis, Chine, Europe : qui fait tourner l'économie mondiale ?
par Bill Bonner 21 septembre 2011▪ Qu’est-ce qui fait tourner l’économie mondiale en ce moment ? Pas les Etats-Unis. Le secteur privé des Etats-Unis ne bouge pas. Il est coincé… il a calé… il est en panne sèche… au point mort.
-
Le billet vert n’est plus un refuge. Et l’euro ne monte pas uniquement grâce au retour de l’appétit pour le risque". "Il semble que la mentalité des citoyens américains ait changé ; pénalisant inéluctablement le mode de consommation et de croissance outre-Atlantique. Les Américains qui le peuvent épargnent, c’est nouveau et c’est très inquiétant. 70% du PIB américain venant de la consommation"… "Si les plus gros consommateurs de la planète se mettent à épargner alors même qu’ils gagnent moins, l’impact sur la croissance américaine, et mondiale par ricochet, va être démultiplié
-
Les stocks s’accumulent outre-Atlantique, encore et encore. 3,9 millions de barils supplémentaires. Enorme ! C’est 50% de plus que ce que le consensus des analystes prévoyait. Donc, nous en sommes à… 370 millions de barils stockés. Cela ne vous parle peut-être pas, mais il faut remonter presque 20 ans en arrière pour retrouver un niveau de stocks aussi excessivement élevé
-
Un gros boom est toujours suivi d’une chute. C’est ce à quoi nous assistons en ce moment. Et on ne voit aucune preuve nulle part dans les archives économiques que les autorités financières ont la capacité d’y remédier. Elles peuvent la retenir – pendant un certain temps. Elles peuvent l’altérer. Elles peuvent éventuellement la détourner. Elles peuvent l’aggraver. Mais il n’existe aucune preuve montrant qu’elles puissent l’empêcher
-
Epargne
L'Islande… ou les inconvénients d'une activité trop volcanique
par Philippe Béchade 11 avril 2008A-t-on tendu un nouveau piège aux vendeurs à découvert hier ? Il leur était difficile de ne pas s’y laisser prendre ! Ils auraient dû se méfier de la trop belle concordance d’éléments techniques et macroéconomiques accréditant le scénario d’un épisode correctif beaucoup plus intense qu’en début de semaine
-
La dégradation conjoncturelle dans le secteur de l’immobilier devient globale ; le second pays le plus exposé à une correction de grande ampleur est l’Angleterre. Selon une enquête d’Halifax, la banque classée numéro un du crédit aux particuliers outre-Manche, les prix des logements résidentiels ont brusquement chuté de 2,5% en mars, contre un recul de 0,5% anticipé. Ce mouvement était prévisible après 170% de hausse en 10 ans
-
Où trouve-t-on, dans le capitalisme, l’idée qu’on peut dépenser plus qu’on ne gagne ? Où, dans la vision d’Adam Smith, se cache l’idée que les étrangers subventionneront votre niveau de vie — indéfiniment ? Où, dans le concept de "laisser faire", trouve-t-on la notion que les banques centrales empêcheront les corrections en contrôlant le prix de la monnaie ? Qu’est-il arrivé à tout le sturm und drang ? Où est la "destruction créative" de Schumpeter ?
-
Le crédit à la consommation a grandi et est devenu méchant. Jusqu’en 1980, la dette totale des marchés du crédit, aux Etats-Unis, n’avait jamais dépassé les 130% du PIB. A présent, elle est supérieure à 330%. Et les contrats dérivés basés sur le crédit ont crû encore plus rapidement. Il y a actuellement l’équivalent de 45 000 milliards de dollars de credit default swaps, par exemple ; ils ont été multipliés par neuf au cours des trois dernières années.
-
Votre correspondante revient du Texas… et cet état qui se veut "plus grand que les autres" me laisse un sentiment mitigé. San Antonio, la ville où nous avons séjourné, a une longue histoire espagnole et mexicaine — ce qui lui confère une atmosphère quasi-européenne qui la différencie de bon nombre de villes US. L’hospitalité y est aussi chaleureuse que la météo… et les sites touristiques ne manquent pas, à commencer par l’emblématique Fort Alamo, théâtre de la bataille mythique entre Texans et Mexicains.
-
C’est parce qu’elles n’ont pas été seules à monter ce coup. Ont participé à la grande arnaque : les gérants, qui ont placé dans des fonds "sans risques" ces bombes à retardement ; les agences de notation, qui ont crié au loup une fois la meute passée ; et bien sûr, les autorités suprêmes de contrôle, qui n’ont absolument pas joué leur rôle. Le contrôle des grands établissements n’est pas monnaie courante et demande moult précautions.
-
Voilà que nombre d’experts en tous genres et autres prélats de la finance nous parlent aujourd’hui d’une "crise financière" qui serait en fait liée à une "crise de foi" en ces fameux crédits hypothécaires américains (subprime) — ladite "crise de foi(e)" ayant cependant provoqué bon nombre de jaunisses chez les banquiers qui auraient abusé à l’indigestion de ces paniers (gourmands) de dettes titrisées.