L’effet richesse des porteurs d’actions est un leurre qui se produit au détriment des porteurs d’obligations. Les actions ont progressé mais pas l’économie…
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Le programme de Trump ne fonctionnera pas. On ne peut pas réduire les impôts sans réduire les dépenses. A défaut, les taux vont monter.
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Banques CentralesSimone Wapler
Les premiers vilains dégâts des hausses des taux intérêts
par Simone Wapler 6 février 2017Les premiers effets des hausses des taux commencent à se manifester dans une certaine indifférence… sauf pour le Gold…
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EpargneIndices, marches actions, strategies
Non, 2016 n’est pas un poisson d’avril
par Françoise Garteiser 2 avril 2016Je m’efforce de faire comme Bill Bonner, et de voir le bon côté des choses : à coup sûr, le système économique ploie sous les fardeaux toujours plus lourds qu’on lui entasse sur le dos… et ne va pas tarder à s’effondrer…
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EpargneInflation et récessionSimone Wapler
La baisse des taux est bonne pour la hausse du chômage
par Simone Wapler 7 mai 2015L’acharnement des grands planificateurs, des banquiers centraux, des banquiers employés des banques trop grosses pour faire faillite, des économistes, des politiciens s’explique de cette façon : leurs erreurs ne rejaillissent pas sur leur vie personnelle…
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EpargneIndices, marches actions, strategiesSimone Wapler
Les taux bas ne font rien pour la croissance
par Simone Wapler 12 mars 2015▪ Dans l’église keynésienne, il est un dogme que nul ne doit remettre en cause sous peine d’être excommunié ou soumis à l’inquisition par un grand prêtre économiste : "des taux…
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EpargnePhilippe Béchade
Des taux à 2,7%, du pétrole à 106 $… On s’en fiche, c’est l’été !
par Philippe Béchade 11 juillet 2013Les juillettistes peuvent enfin dormir sur leurs deux oreilles. Le marché a pris une grosse insolation en moins de 48 heures de canicule et il semble complètement assommé…
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Un baby-boomer né après-guerre n’a vécu qu’un seul cycle de taux d’intérêt complet. Les taux ont atteint un plus bas après la guerre… tandis que les Etats-Unis étaient confrontés à la plus grande falaise fiscale de leur histoire…
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Epargne
La Fed confirme qu'elle va continuer de raser gratis très longtemps
par Philippe Béchade 17 mars 2010Le marché n’envisage pas que l’embellie boursière des 12 derniers mois ne constitue que l’oeil du cyclone. Il fait grand soleil, tout le monde est heureux — enfin… tous ceux qui ont comme seule préoccupation de regarder leurs actions grimper — et les médias annoncent que le ciel devrait rester bleu au-dessus de Wall Street, même si Manhattan enchaîne tempêtes de neige et pluies diluviennes. Ils se basent sur le bulletin météo de la Fed, qui confirme ce mardi le maintien de "taux très bas, très longtemps". Le contenu du communiqué final était déjà connu de longue date et pratiquement à la virgule près par les initiés. La seule minuscule inflexion sémantique concerne l’emploi qui se stabilise au lieu de demeurer anémique : une toute petite retouche en milieu de page et le texte de début février est de nouveau bon pour le service
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Hier, la Fed a baissé ses taux. La veille, nous avions conseillé de vendre le dollar. Nous espérons que vous avez suivi notre conseil. Le billet vert chute. Il est à un plus bas depuis 13 ans par rapport au yen. Il a chuté par rapport à l’euro, et à l’or, qui grimpe. Quel bonheur ! Notre Transaction de la Décennie est désormais profitable des deux côtés
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Epargne
Comme on se débarrasse d'un fond de pastis un peu tiédasse…
par Philippe Béchade 2 juillet 2008Si nous n’avions tant disserté sur les causes d’un futur effondrement des indices boursiers depuis le début du mois de mai dernier, nous éprouverions une certaine allégresse en passant en revue la liste des facteurs négatifs qui plombent l’ambiance sur les marchés financiers
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Epargne
Turbines financières en panne, marchés plongés dans les ténèbres
par Philippe Béchade 30 juin 2008La Fed a déçu les marchés mercredi par une communication jugée illisible : Ben Bernanke souligne le niveau alarmant de l’inflation mais ne se déclare pas résolu à la combattre. Les marchés comprennent que le cycle de détente de taux est terminé… pour l’instant, mais que se passera-t-il si la conjoncture US se dégrade
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Dans la guerre entre l’inflation et la déflation, vendredi dernier a été un jour sanglant. Ca a commencé par un tir du département de l’Emploi US ; le chômage a enregistré sa plus grande augmentation depuis 1986 — de 5% à 5,5%. Puis l’enfer s’est déchaîné. Les investisseurs ont immédiatement compris que la Fed de Bernanke n’aurait aucun moyen de tenir sa demi-promesse d’abandonner le combat contre la déflation et de commencer à lutter contre l’inflation, aux côtés de la Banque centrale européenne. Les banques centrales n’augmentent pas les taux lorsque le chômage grimpe. C’est du moins ce qui se passe depuis longtemps
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Pour le pétrole, la correction a commencé. Le pétrole a chuté sur le marché américain, il tourne désormais autour des 123 $. Et ce n’est pas la colère noire de George Soros face au Congrès qui a effrayé les spéculateurs. Les prix élevés, dit le proverbe, sont un remède aux prix élevés. "Remède" n’est peut-être pas le mot le plus approprié, surtout si vous êtes une compagnie aérienne ou un constructeur automobile
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Le rôle des marchés est de pousser des pratiques apparemment rationnelles (et parfois délictueuses, s’agissant du subprime) jusqu’à leurs conséquences les plus absurdes… Le rôle de la Fed et de l’administration fédérale — notamment d’Henry Paulson, à qui Wall Street envisage déjà d’élever une statue — est de trouver des parades aux désastres qui surviennent inéluctablement.
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Qu’avons-nous à voir aujourd’hui ? Eh bien, nous commençons avec deux histoires. "Le crédit US s’assèche, faisant naître des craintes de récession", titrait le journal International Herald Tribune. "Les artères financières se contractent au rythme le plus rapide jamais enregistré". C’est l’histoire d’une contraction du crédit — une pièce du grand puzzle que nous examinons depuis quelques semaines. Vous vous rappelez la règle, cher lecteur ? La force d’une correction est égale et opposée à l’illusion qui l’a précédée. Que peut-on attendre après la plus grande expansion de crédit de tous les temps ? Quelque chose de plutôt dramatique.
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Selon les commentateurs, les investisseurs étaient déçus par la petite baisse d’un quart de point accordée par la Fed de Bernanke mercredi. Quoi ? Comment était-ce possible ? Neuf économistes sur dix l’ont vue arriver. Pourquoi les investisseurs faisaient-ils une tête aussi étonnée ? Peut-être parce que la Fed a signalé qu’il n’y avait plus beaucoup de baisses en réserve… mais qui croirait ça ?
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C’est parce qu’elles n’ont pas été seules à monter ce coup. Ont participé à la grande arnaque : les gérants, qui ont placé dans des fonds "sans risques" ces bombes à retardement ; les agences de notation, qui ont crié au loup une fois la meute passée ; et bien sûr, les autorités suprêmes de contrôle, qui n’ont absolument pas joué leur rôle. Le contrôle des grands établissements n’est pas monnaie courante et demande moult précautions.