Si le risque n’existe plus, l’assurer devient inutile
L’épargne est devenue inutile, le système financier n’en a plus besoin pour créer du crédit. Le risque de défaut semble avoir disparu…
L’épargne est devenue inutile, le système financier n’en a plus besoin pour créer du crédit. Le risque de défaut semble avoir disparu…
Le couple rendement-risque des actions chute mais le marché obligataire sera-t-il pour autant toujours un refuge dans la prochaine crise ?
C’est à nouveau la joie et la bonne humeur sur les marchés financiers. Et le goût du risque refait surface avec le bitcoin.
La Zone euro n’a pas implosé malgré ses déséquilibres grandissants. Mais un risque nouveau surgit : celui d’une sécession à l’intérieur d’un pays…
Warren Buffett, le mythique gérant du fonds Berkshire Hathaways, diminue son exposition au risque…
Le crédit est un pari sur l’avenir. Plus les crédits augmentent, plus les durées s’allongent, plus le pari est risqué…
Les banques peuvent faire faillite même lorsqu’elles sont correctement capitalisées. Une jauge fiable de risque réside dans la proportion des dépôts en regard des prêts.
Vous connaissez notre point de vue : nous pensons qu’il faut être un investisseur courageux — ou imprudent — pour rester dans les actions US en ce moment. Elles sont chères. Le risque de perte est considérable…
Les actions boursières connaissent une tendance haussière historique ; voilà 40 ans qu’on n’avait pas vu aussi peu de jours de contre-tendance à la baisse. Tel est le pouvoir des taux zéro…
Le marché boursier s’est envolé mercredi dernier après que la Fed et plusieurs autres banques centrales ont annoncé leur tout dernier plan dans le but de pousser à la hausse des marchés financiers. A première vue, les banques centrales ont simplement promis de réduire le coût d’emprunt de dollars.
Peu de gens parieraient sur l’avenir financier de l’Argentine. Le pays est un inflationniste en série… qui s’auto-inflige de temps en temps des blessures financières. Il s’est tiré une balle dans le pied si souvent que c’est à peine s’il lui reste des orteils ! La plupart des gens diraient qu’investir en Argentine est "trop risqué". Mais cela ne fait que démontrer que les gens ne comprennent pas le risque
J.P. Morgan a rédigé une note déconcertante pour ses clients positionnés sur les matières premières. Entre autres, il prétend que "le statut de refuge de ce secteur a, de façon ironique, augmenté son profil de risque en faisant de sa performance relative un produit dérivé des conditions du marché financier". Depuis quand les valeurs du secteur des matières premières sont-elles un refuge ? En ont-elles jamais été un ?
Un aveugle aurait pu voir arriver le désastre du subprime. Mais d’une manière ou d’une autre, les Mozart de la finance l’ont manqué. Que s’est-il passé ? On peut poser un diagnostic en observant la manière dont les petits génies gèrent le risque. Bien entendu, ils n’ont pas vraiment de moyens de savoir ce qu’est vraiment le risque ; personne ne peut connaître l’avenir
Si vous êtes en train de me lire, c’est que déjà, vous avez une âme de "trader" et que votre aversion au risque est supérieure à la moyenne. D’autres investisseurs ne se permettent jamais le moindre risque et préfèrent des performances garanties, sur du plus long terme, ce qui a évidemment un coût : la volatilité abaissée signifie aussi une performance moyenne bien plus faible.
L’une des principales clés du succès en Bourse consiste en la maîtrise de soi. Facile à dire, mais comment faire vraiment ? La Bourse, qu’on parvienne à la voir d’un regard relativement détaché et froid ou qu’on la vive comme un casino planétaire, reste un domaine où les émotions règnent et peuvent consumer un trader mal protégé.
Le S&P et le Dow ont chuté de 10% par rapport à leur hausse du début du mois d’octobre. Chute qui passe pour une "correction". Cela signifie également que l’optimisme concernant la fin de la crise du crédit début octobre était… sérieusement déplacé. Nous pourrions dire que le marché était complètement à côté de la plaque… mais qui sommes-nous pour discuter ce que dit le marché ? En outre, nous sommes actuellement en équilibre sur la fine ligne qui sépare l’incertitude du risque. Le risque est quantifiable. Si vous pouvez lui coller un nombre, une probabilité, alors vous pouvez vous couvrir en cas d’issue inattendue.