pétrole

L’administration Trump est ignorante : de sa dette, du rôle de la Russie dans l’économie de son pays, du coronavirus… Le chaos guette.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la « bulle de tout » n’est pas réellement menacée pour l’instant. Le pétrole, de son côté, vient compliquer la situation du crédit.

Les marchés actions ont du mal à se remettre – et désormais, l’économie elle-même donne des signes de faiblesse. Que se passera-t-il si les choses empirent encore ?

Les événements du passé permettent de mieux comprendre et anticiper l’avenir : que peuvent nous dire les Etats-Unis des années 1970 ?

Les climatologues – dont la plupart sont payés par les contribuables – ont cautionné un racket fiscal. Les gilets jaunes servent de révélateur. Le groupe électrogène ronronne de loin dans…

La chute du pétrole est à double tranchant. Si elle soulage le pouvoir d’achat des consommateurs, elle met en péril un tombereau de dettes. Retour au Congo Brazzaville. L’Airbus A330-200…

Le régime de prix administrés sous lequel nous vivons fausse l’activité économique. Les prix du pétrole sont-ils vraiment formés librement ? En ces premiers matins frais de l’automne, j’avais décidé qu’il…

Les Etats-Unis se retirent de l’accord international sur le nucléaire iranien – mais les marchés tiennent bon…

Le Venezuela veut émettre une cryptodevise adossée à ses réserves de pétrole qu’il placera auprès d’investisseurs étrangers le 15 février prochain.

Je vais vous expliquer comment encaisser cette semaine 300 $ de revenus immédiats, grâce à la manipulation actuelle du marché du pétrole…

La hausse du pétrole, si elle dure, peut ranimer l’inflation. Dans ce contexte, les cryptomonnaies se montreront-elles supérieures à l’or ou l’argent-métal ?

L’expansion démesurée de Houston est née du crédit facile et du développement du pétrole de schiste. Elle s’est faite en zones inondables au mépris des règles d’urbanisme…

Désormais premier importateur de pétrole, la Chine souhaite ne pas le payer en dollars. Elle prépare un accord dans ce sens avec les Saoudiens…

Le pétrole navigue depuis des mois dans une étroite fourchette de prix. S’il baisse, la chute sera très violente en raison des énormes positions haussières accumulées…

Les prix du pétrole ont fini la séance de mardi dernier au-dessus des 50 $ le baril. C’est la première fois depuis juillet dernier que la clôture du pétrole se situe au-delà de ce seuil. Les stocks américains sont en baisse et la demande chinoise est plus forte que prévue…

Nous aurions pu écrire des pages de commentaires accumulant les preuves devant conduire à un échec inéluctable. Le ministre iranien du pétrole aurait eu beau expliquer qu’il ne souhaite pas participer au sommet de Doha pour ne pas rater l’anniversaire de son petit-neveu, cela n’aurait rien changé…

C’est à nouveau l’histoire de la queue qui remue le chien. Le marché a tenté de briser ses chaînes, en vain : les actions restent accrochées au pétrole. Une journée de baisse pour le pétrole signifie une journée de baisse pour les principaux indices et vice versa…

Barron’s a encore fait des siennes : début février, le magazine a annoncé que le brut se dirigeait vers les 20 $. Bien sûr, le pétrole a connu une forte hausse juste après sa prévision, plafonnant au-dessus des 40 $. Bravo les gars !