▪ Pendant que les Etats-Unis laissent filer les déficits tout comme l’inflation, J.-C. Trichet évoque une « forte vigilance » concernant la stabilité des prix, ce qui préfigure à coup sûr un second tour de vis monétaire début juillet. Le taux directeur serait porté à 1,5% en Zone euro alors qu’il resterait inchangé à 0,15% (en moyenne) outre Atlantique et à 0,5% outre-Manche.
marché baissier
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La plupart des actions n’ont pas encore atteint leurs ultimes plus bas. Si l’on ne peut voir les planchers absolus du marché baissier dans son rétroviseur, c’est qu’ils sont encore à venir. Rappelez-vous le schéma large d’un marché boursier : il va d’un sommet historique à un plancher historique… avec des années d’allées et venues entre les deux. Lorsqu’on achète des actions au milieu de ce schéma… lorsqu’elles ne sont pas bon marché… on est entièrement à la merci du marché. S’il grimpe, on s’en sort bien. S’il baisse, on perd de l’argent
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Epargne
Le krach ne nous inquiète plus… c'est bien ce qui le rend dangereux !
par Bill Bonner 14 avril 2010Quand le krach du désendettement reprendra-t-il ? Quand nous cesserons de nous en inquiéter. Cet après-midi, nous avons réalisé qu’en notre for intérieur, nos sentiments avaient changé : nous avons cessé de nous inquiéter de la reprise du marché baissier. Non que nous ayons cessé d’y penser. Nous y pensons tous les jours. Et nous sommes certain que ça arrivera. Mais nous avons cessé de nous en inquiéter
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Début de semaine, nous n’étions pas certain de la direction des marchés. Puis nous avons eu des doutes… Nous pensions que les cours étaient à la baisse. Mais les bonnes performances ont remis notre hypothèse en question. Pourquoi les actions baisseraient-elles ? Parce qu’elles sont valorisées pour une reprise forte. Mais nous n’aurons pas une reprise forte. Nous n’aurons pas de reprise du tout. Les investisseurs ne pourront que s’en apercevoir, tôt ou tard
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La semaine dernière, nous avons gardé l’oeil sur l’or… et sur le dollar. A mesure que le dollar grimpe, l’or baisse. Nous ne pensions pas que les choses se passeraient ainsi. Nous nous attendions à un krach boursier d’abord
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Au cours des prochaines années, les actions vont perdre de leur valeur au fur et à mesure que l’or augmente — même si nous allons devoir subir des épreuves comme celle que nous subissons en ce moment, où le marché boursier remonte après avoir chuté. Les actions américaines sont à 29 fois les bénéfices, avec des rendements de moins de 2%, c’est terrible
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Le rebond de marché baissier a-t-il encore beaucoup de forces en réserve ? Partout dans le monde, c’est la même histoire ou à peu près. Les marchés ont repris la moitié ou plus de ce qu’ils avaient perdu. Les Etats-Unis sont à la traîne. Même si le S&P a gagné 60%, le Dow n’est pas encore à mi-chemin
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Quelle reprise géniale ! Pas d’emplois… Pas de crédit… Pas de ventes… Mais regardez un peu les actions ! Et le pétrole ! Et l’or ! Et même l’immobilier londonien ! Les agents immobiliers, à Londres, annoncent qu’ils sont en rupture de stocks… tandis que les prix atteignent des records. Enfin… les prix demandés, en tous cas. Les prix de vente, c’est une autre histoire
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Deux choses importantes se sont produites la semaine dernière — et toutes deux projettent une lumière écarlate sur la situation actuelle. D’abord, le Dow a continué de chuter. Il a perdu plus de 200 points. Peut-être que ce n’est rien. Peut-être que c’est important… le début de la prochaine "jambe de baisse" tant attendue… le premier jour d’un Octobre Rouge sanglant
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Epargne
Si seulement Salvador Dali avait pu nous peindre ça !
par Philippe Béchade 28 septembre 2009Comment interpréter la consolidation de -2,3% de la bourse de Paris et de -1,5% de l’Eurotop 100 la semaine dernière ? Les indices plafonnaient sous leurs records annuels depuis le 17 septembre. La plupart des spécialistes invités à donner leur sentiment répètent cependant à l’envi que les liquidités sont archi-abondantes et que la majorité des gérants attendent le premier repli des actions pour se repositionner
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Epargne
Les ventes des frères Toll ne constituent pas un bon achat !
par Eric J. Fry 28 septembre 2009Que voyons-nous ? Eh bien, nous voyons quelques signes que l’économie a cessé d’empirer… et beaucoup de signes qui montrent que l’économie est loin de se remettre. Nous voyons aussi que les actions ont des valorisations TRES hautes par rapport aux données économiques actuelles, contrairement aux données espérées. Enfin, nous voyons que ceux les dirigeants n’aiment pas trop les actions de leurs propres entreprises
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Richard Russell étudie "le langage des marchés" depuis plus d’un demi-siècle. Même si personne ne maîtrise entièrement le langage du marché, Richard peut au moins suivre une conversation avec lui. "La tendance primaire est à la baisse", dit-il. En fin de compte, continue-t-il, peu importe ce que font Obama et Bernanke, la tendance primaire fera ce qu’elle voudra. Le marché baissier se poursuivra jusqu’à ce qu’il se soit "pleinement exprimé"
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Les places européennes et les marchés américains ont mis un pied dans le précipice indiciel en ce mercredi 21 janvier… Cependant, le sursaut de 1,5% des indices américains demeure de l’ordre du rebond technique. Le seul scénario susceptible de dissiper le vent de panique qui peut se remettre à souffler à tout moment sur Wall Street serait une prompte remontée de 4% du Dow Jones et de 5,3% du S&P. Cela validerait ce que les chartistes qualifient de bear trap
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Cette année 2008 restera gravée comme la pire année boursière depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale voire 1929. Les évolutions des indices et le climat de fin de monde que nous connaissons ne semblent laisser que peu d’espoir à l’investisseur. Et pourtant, je pense que le pire est derrière nous
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Epargne
Acheter dans un marché en baisse : avoir le courage d'avoir peur
par Chris Mayer 12 novembre 2008En matière d’investissement, il y a des choses qui n’ont pas changé depuis que 24 fameux agents de change se sont rencontrés sous un platane pour donner naissance à ce qui allait devenir la Bourse de New York. Acheter à la baisse et vendre à la hausse fonctionne dans tous les marchés. Mais c’est plus facile à dire qu’à faire
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"Ca ressemble assez à une guerre ouverte", déclarait l’économiste financier en chef d’une grande banque japonaise. Que se passe-t-il ? La vague de ventes attendue depuis si longtemps semble être sur nous… Elle a été réprimée, niée et retardée — mais M. le Marché peut enfin s’exprimer. Il parle si fort que même les clowns écoutent
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Euro qui s’envole, dollar en baisse, Etats-Unis en plein marasme et faiblesse de la croissance européenne… quelles seraient les solutions à ces problèmes de fond ? La hausse des matières premières impacte évidemment les prix des produits finis. Mais la BCE maintient le cap et veut être un rempart contre l’inflation. On ne sait pas encore comment, mais ne perdons pas tout espoir
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La Fed, suivie par la Banque centrale européenne, a encore ouvert les vannes, abreuvant de 200 milliards les marchés afin que les banques ne soient pas à sec. Dans cette optique, on attend une nouvelle baisse des taux, au risque de faire progresser l’inflation. Le secteur de la finance devrait retrouver un peu de sérénité au début du second semestre. Il n’est pas dans l’intérêt des pays de voir le désordre s’installer durablement sur les marchés. Et les instances le savent fort bien. Le gouvernement américain va donc se montrer plus incisif pour contribuer à améliorer une situation économique faiblarde, qui nous touche par ricochet