« L’inflation ou la mort » : un piège qui se referme sur de nombreux pays. Lequel sera le prochain sur la liste ?
livre sterling
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Banques CentralesDette
Le vrai rival des Etats-Unis n’est pas la Chine
par Bruno Bertez 22 juillet 2019Les Anglo-Saxons – USA en tête – veulent l’inflation. Une nation leur résiste… et ce n’est pas celle que l’on pourrait croire.
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Or et Argent
Bitcoins, métaux, euros, dollars : quels sont les meilleurs actifs monétaires ?
par Ferghane Azihari 10 octobre 2016Le récent « flash crash » de la livre sterling donne à réfléchir sur ce qu’est aujourd’hui une monnaie. Une monnaie qui peut perdre 6,5% de sa valeur en un battement de cil est–elle vraiment une monnaie..?
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EpargneGuerre des monnaies
La livre sterling face à l’euro : un parcours inattendu
par La rédaction 10 septembre 2014Alors que le Royaume-Uni se réjouit d’avoir la plus forte croissance économique de tous les pays industrialisés, la croissance du PIB dans la Zone euro est pratiquement à l’arrêt. Par rapport à l’année précédente, le PIB britannique a cru de 3,1% ; la Banque d’Angleterre prévoit même 3,5% pour 2014…
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Guerre des monnaies
Forex : mes scénarios préférés pour le premier trimestre 2012
par Jérôme Revillier 5 janvier 2012J’ai souhaité en ce début d’année vous proposer un point technique sur les devises. J’ai choisi trois paires qui me semblent présenter un bon potentiel dans les prochaines semaines.
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La reprise sera plus lente que prévu, en admettant que reprise il y ait, surtout aux Etats-Unis. Le dollar est lâché par ses créanciers, et maintenu sous pression par les discours laxistes des autorités monétaires américaines. Ces mêmes discours alimentent une hausse orchestrée des marchés actions. En effet, quoi de plus illusoire qu’un marché qui monte sur l’unique pari que l’économie ira assez mal pour assurer la pérennité des subventions qui la font tourner artificiellement !
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Depuis la fin de l’année 2009, le dollar US a bénéficié de son statut de valeur refuge, en se renforçant par rapport aux principales devises. Néanmoins, ces dernières semaines, face à l’afflux de mauvaises nouvelles concernant la santé de la première économie mondiale, la situation s’est inversée. La déception tant sur le front de l’emploi, de l’immobilier que de l’activité économique ont en effet donné lieu à une désaffection du dollar US au profit des autres devises. Ce mouvement constitue-t-il un retournement durable, ou une simple correction
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L’euro prend une raclée. Les investisseurs s’inquiètent de sa survie face aux problèmes de dette de l’Europe.Mais l’euro n’est pas seul. Le pire déficit, du côté est de l’Atlantique, n’est pas en Grèce, mais au Royaume-Uni. Et l’endettement des ménages le plus grave n’est pas en Espagne ; il est lui aussi en Angleterre. La livre sterling chute ; ce n’est pas étonnant. Cette semaine, les spéculateurs parient contre la Grèce en nombres record
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Et voilà que la livre sterling dégringole. Elle est passée sous les 1,50 $ mardi. Au lieu de la considérer comme un refuge par rapport à l’euro, chahuté, les investisseurs fuient la devise britannique. Pourquoi ? Ils se disent que ce qui s’est produit en Grèce pourrait aussi arriver en Grande-Bretagne. Le déficit budgétaire britannique — à 12% du PIB — est à peu près équivalent à celui de la Grèce, deux fois supérieur à la moyenne européenne
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Le climat des affaires s’est encore amélioré en Allemagne au mois d’octobre ; en Grande-Bretagne en revanche, à la surprise générale, c’est un sixième trimestre de récession qui s’enchaîne, avec une nouvelle baisse de 0,4% du PIB… Cela a fait plonger la livre sterling de 1,5% contre le dollar et l’euro
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Selon une estimation de RealEconomics, le chômage aux Etats-Unis pourrait atteindre 14% avant de baisser. Une autre estimation, de PIMCO cette fois-ci, s’inquiète de le voir dépasser les 10%… pour y rester pendant longtemps. Bien entendu, les appels aux plans de relance se font plus forts. Les gens se demandent pourquoi Washington renfloue Wall Street — mais pas la Californie. Est-ce que ça ne stimulerait pas l’économie
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L’indice de la Fed de Philadelphie a fait ressortir que le sentiment des industriels de ce district restait morose avec un indice à largement négatif à -22,6 (alors que les analystes attendaient une plus forte amélioration). Voilà qui n’arrange pas les affaires du dollar. De plus, le récent rally sur les marchés actions a ravivé l’appétit pour le risque des investisseurs et fait pression à la baisse sur le dollar
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Reykjavik-sur-Tamise : voilà le nouveau surnom de Londres. Terminées les heures flamboyantes de la City, le modèle économique du Royaume-Uni fondé sur la finance est mort. "Aujourd’hui, on évoque un retour aux années 30 et une faillite du Royaume-Uni", note The Observer. Les mesures du gouvernement, renflouage des banques ou baisse de la TVA n’ont pas eu l’effet escompté
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Avec la crise économique et les différentes annonces de plans de relance — dans lesquels seront dépensés des milliards d’euros et de dollars que les pays n’ont pas — la guerre a tendance à se déplacer sur le terrain des notations et des monnaies des pays. Ces montagnes de dettes qui vont s’accumuler risquent de les fragiliser à un autre niveau, autrement plus important
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La Royal Bank of Scotland (RBS) vient de déclarer la plus grosse perte de l’histoire britannique — l’équivalent de 28 milliards de livres. Son cours a perdu 67% lundi. Cette semaine, quels trucs le gouvernement de Sa Majesté va-t-il trouver ? Quelle baguette magique le chancelier agitera-t-il pour faire partir le krach
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Epargne
Gordon Brown avait lâché un Madoff en 2008… en voici 2,5 de plus !
par Philippe Béchade 19 janvier 2009Oui vraiment, les principaux indices boursiers semblaient s’être donné rendez-vous à proximité de leurs planchers de début décembre ou de la fin octobre. Cependant, le feu d’artifices de hausses observé vendredi matin s’est retrouvé éteint par une pluie de mauvaises nouvelles en provenance des Etats-Unis ou d’Europe. Dans ce contexte, les espoirs de voir le marché parisien effacer ses pertes de jeudi (-1,8%) n’ont pas perduré
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J’aimerais évoquer aujourd’hui le cas de la paire GBP/USD, appelée "le Cable". Pour la petite histoire, le nom "le Cable" vient d’un câble transatlantique qui servait à synchroniser le taux du GBP/USD entre les marchés de Londres et New York. Actuellement la parité tourne autour de 1,97, ce qui veut dire que 1 livre sterling = 1,97 $
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Aujourd’hui, nous détournons notre regard des pauvres, des faibles et des masses qui en rang serrés luttent pour s’offrir leur riz quotidien… et nous nous concentrons plutôt sur les gens qui luttent pour assurer leurs remboursements de carte de crédit. Voici un groupe de gens si gâtés par la Nature qu’ils étouffent. Et leur richesse aussi est mise à mal