krach

Ils se basent de plus en plus sur une interprétation très sélectives des chiffres publiés sur l’économie ou sur les entreprises, sans forcément que ce soient les chiffres les plus pertinents.

Leurs rendements atteignent des niveaux plus vus depuis 2008. C’est le signe d’un changement plus profond qu’une seule hausse temporaire des taux d’intérêt.

La source du financement des déficits américains voit son débit s’atténuer. Que se passera-t-il si elle s’assèche complètement ?

Les marchés sont repartis à la hausse, sous l’influence d’« audacieux » investisseurs. Le même genre d’investisseurs qui était extatique début 1930… avant la rechute.

Le système repose sur la croyance que la prochaine crise ne se produira pas, car les bonnes leçons ont été retenues de la crise précédente.

Après de longues périodes de calme et de tranquillité… le moment du krach finit par arriver.

La flambée des taux, les révisions du marché du travail, des yachts à 100 millions de dollars et bien d’autres choses encore…

Dans un monde de maisons soit offertes soit trop chères, et d’actions ignorant la hausse des taux d’intérêt… A quand la baisse de tous les actifs ?

Oubliez le FOMO… voici notre véritable mode opératoire pour éviter de subir les krachs de plein fouet…

Pour que les prix chutent, il faut que les vendeurs baissent les bras. Ils ont cependant des raisons de résister.

De nombreux investisseurs baissiers prévoient une récession et chute des actions pour bientôt, mais qu’en est-il vraiment ?

Les banquiers centraux tentent un numéro d’équilibriste, entre stabilité financière, inflation, hausse des taux et chute des prix des actifs surévalués.

Les autorités continuent d’espérer une solution miracle. Mais il faut toujours que quelqu’un supporte les pertes…

Le cycle baissier qui débute pourrait avoir des conséquences dévastatrices… N’attendez pas pour récupérer vos capitaux.

Le prix de l’argent est la mesure financière la plus importante avant le krach.

Les pertes n’ont pas été aussi importantes que ce que nous attendions… Pour le moment.

Les faillites de banques n’ont pas déclenché d’explosion majeure, mais le gaz qui gonfle le système financier depuis quinze ans est toujours bien là…

En attendant le bouquet final du feu d’artifice saluant le krach, les équilibristes financiers construisent des montages toujours plus instables.