financiarisation

La financiarisation extrême de la décennie 2010, sous la responsabilité des banques centrales, a créé un certain nombre d’illusions. 

L’un des candidats à la prochaine élection présidentielle américaine nous a contacté… voici notre réponse.

La spéculation se déchaîne encore plus que précédemment, depuis le 24 février. Au point que des matières premières ont vu leurs cours s’envoler avant de s’effondrer, tandis que les obligations n’offrent plus aucun refuge.

La chute récente sur les marchés ne sort pas de nulle part, et ce n’est pas plus une surprise que tous les actifs financiers soient touchés en même temps. Le modèle ne peut plus fonctionner indéfiniment…

Si vous souscrivez un crédit, vous devez le rembourser. A priori, cela devrait être la même chose pour les dettes des Etats, mais, en pratique, c’est un peu plus compliqué…

Après 40 ans de financiarisation et de dérégulation, le résultat n’est pas très probant pour la création de vraie richesse… Par contre, ce n’est pas la richesse-papier qui manque !

Toutes les opérations de la Fed mènent à un simple résultat. Qui peut se résumer en un graphique.

La financiarisation de l’économie est un bouc-émissaire bien pratique, qui permet de dissimuler d’autres problèmes fondamentaux affectant le capitalisme actuel.

Beaucoup d’économistes accusent la financiarisation de causer les problèmes actuels du système. C’est oublier que le capitalisme a d’autres faiblesses…

On met le terme « financiarisation » à toutes les sauces, pour agiter diverses causes… mais très peu comprennent le concept – et surtout pourquoi il est responsable du plus grand transfert de richesse de tous les temps.

La financiarisation de l’économie est incontestable, visible… et elle pervertit l’ensemble du système. Pourquoi ? Comment est-elle apparue ? Et comment peut-on la définir ?

Les gouvernements ont découvert la quadrature du cercle : comment s’endetter éternellement… enfin, jusqu’à ce que le prochain choc vienne mettre fin à la belle vie.

Le néolibéralisme actuel n’a plus rien à voir avec le capitalisme. Financiarisation et usure du capital règnent désormais, et leurs effets pervers sont en train de devenir visibles de tous.

Neutre, inoffensif, le crédit ? Absolument pas – et ces idées dangereuses sapent désormais l’économie et jusqu’aux fondements même de nos sociétés.

Financiarisation et dérégulation, les mamelles de ceux qui nous gouvernent – et aujourd’hui, elles se transforment désormais en foyer de crise.

Financiarisation, guerres sans fin et fausse monnaie sont la ruine d’un empire – comme les Etats-Unis sont en train de s’en apercevoir.

La Zone euro est nettement moins financiarisée que les Etats-Unis. Une bonne chose à première vue, sauf que…

La financiarisation de l’économie a sa part de responsabilité dans la tourmente actuelle – mais elle n’est pas seule.