Comment va se résoudre le 4e supercycle de la dette ? (3/3)
Comment la situation pourrait-elle se résoudre et, surtout, quelles conséquences pour le cours de l’or ?
Comment la situation pourrait-elle se résoudre et, surtout, quelles conséquences pour le cours de l’or ?
Le combat pour juguler les déficits est un défi des deux côtés de l’Atlantique.
La France a beau avoir été épargnée par Standard & Poor’s, elle doit faire face à une série d’événements majeurs qui pourraient mettre à mal le pays.
Avec leur théorie des supercycles de la dette, S&V nous offrent une carte, quoi que partielle, de notre position dans l’histoire.
En 2021, le taux d’endettement a atteint 350% du PIB mondial. Qu’est-ce qui a permis à cette situation de surendettement de se prolonger ?
On sait assez bien ce qu’il faut faire… Alors, pourquoi ne le fait-on pas ?
Que doit-on faire pour à tout le moins empêcher la dérive des finances publiques ?
Qu’est-ce qui pourrait empêcher la BCE de réaugmenter la taille de son bilan et la création de monnaie ?
Quels sont les moutons que l’Etat compte tondre encore plus ras ?
La montée de l’or rime avec la création de toujours plus d’argent, via les déficits, l’endettement et l’abaissement des taux.
La chute des technos est la chute du dernier carré qui résistait au problème des taux et du déficit.
La dette publique américaine a officiellement passé les 33 000 Mds$, les rendements des bons du Trésor s’envolent et une nation éplorée tourne les yeux vers la Fed…
Un peu de sagesse classique pour nos lecteurs ouverts d’esprit…
Le point commun entre les constructeurs de pyramides, chasseurs de sorcières et gouverneurs de la Fed…
Insensible à la marée montante des dettes, déficits et défauts, l’Humanité titube vers le désastre…
Alors que 50 000 Mds$ semblent prêts à s’envoler vers le paradis des monnaies, qui versera une larme à leur enterrement ?
La prolifération de faillites ne présage rien de bon pour les Etats-Unis. Surtout quand de nombreuses petites banques voient leurs clients retirer de plus en plus de fonds.
La Fed n’a que deux armes dans son arsenal… toutes aussi mortelles pour l’investisseur…