Les signes d’une crise budgétaire et probablement monétaire
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Alors que les Etats-Unis vacillent sous le poids d’une dette colossale et d’un système politique fracturé, Donald Trump incarne moins un tournant qu’un accélérateur.
Le combat pour juguler les déficits est un défi des deux côtés de l’Atlantique.
Protectionnisme, inflation et guerres commerciales redessinent les règles du jeu économique mondial, avec des conséquences incertaines pour 2025.
En juillet 2020, les investisseurs ont pris conscience qu’ils pouvaient aussi bien perdre que gagner de l’argent avec les obligations du Trésor.
Le Japon, la France et les Etats-Unis sont dans des situations budgétaires désastreuses. Les gouvernements recourront aux vieilles recettes…
Le budget 2025 présenté par Michel Barnier n’est-il qu’une répétition des erreurs passées ?
Les politiques doivent créer des conditions propices à la croissance et au désendettement, plutôt que de se concentrer sur des mesures superficielles.
De millions de triomphes privés aux milliers de milliards de folie publique…
La source du financement des déficits américains voit son débit s’atténuer. Que se passera-t-il si elle s’assèche complètement ?
Du front monétaire au front fiscal, l’inflation continue de faire rage…
Après tout, pour les politiques il n’y a que ces deux possibilités pour tenter de pousser l’économie dans la direction qu’ils veulent. Sauf que les carottes commencent à manquer…
L’aggravation spectaculaire des déficits observée depuis mars 2020 est débattue au Congrès américain, où les deux camps ont leurs projets, plus ou moins réalistes, pour les réduire… ou pas.
Malgré la dette des Etats-Unis à un niveau record d’un côté et l’inflation de l’autre, le pays continue de vivre à crédit sur le dos du reste du monde, grâce au statut de monnaie de réserve du dollar. Cette situation ne pourra pas se maintenir éternellement.
Les Etats s’endettent, les milliards pleuvent… et lorsqu’il faudra rembourser, ça va faire mal. D’où une question de que de plus en plus de spécialistes se posent : faut-il vraiment payer, finalement ?
Entre plans de relance non-financés et influence délétère des banques centrales, les finances américaines mériteraient un bon sevrage budgétaire pour recouvrer la santé. Hélas, ce n’est vraiment pas à l’ordre du jour…
Certains se demandent si l’or a encore beaucoup de marge de hausse : les éléments macro-économiques prouvent que son envolée est loin d’être terminée.
Le monde produit les idées qui lui conviennent au moment « m » – pas étonnant, donc, de voir fleurir en ce moment dettes, déficits et TMM…