Nous assistons à la pire liquidation jamais observée sur le marché obligataire…
crise du crédit
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Le système, les marchés sont gonflés, pourris, mangés de dettes. Ces dernières permettent de nourrir une illusion de prospérité et de maîtrise de la situation qui est condamnée à disparaître.
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Nous avons déjà franchi les étapes initiales de la crise du crédit. Les prochaines sont à venir – et elles seront difficiles pour tout le monde.
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Une nouvelle crise du crédit couve et l’endettement mondial est bien supérieur au niveau de 2008. Cette crise dégénèrera en crise monétaire…
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Banques Centrales
Crise du crédit : Pourquoi le XXIème siècle est-il aussi nul ?
par Bill Bonner 27 février 2017Les marchés montent tandis que les signes d’une nouvelle crise du crédit se multiplient. Ce siècle sent le délabrement et l’argent falsifié de la Fed le mine…
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EpargneOr & Matières PremièresSimone Wapler
Fièvre de l’or, dépression et obésité
par Simone Wapler 25 février 2016Nous vous parlions un peu moins d’or jusqu’à présent qu’entre 1997 et 2012. Pourquoi ? La raison est très simple : l’or est un thermomètre. Il permet de prendre la température de la confiance dans la monnaie et le système financier.
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Inflation et récession
Crise du crédit : le jour où votre carte bancaire ne servira plus à rien
par Bill Bonner 24 février 2015Rappelez-vous cet avertissement quand ça arrivera. C’est-à-dire quand vous irez au distributeur retirer de l’argent… et qu’il n’y en aura pas ! Oui, alors que nous méditions sur ce qui se passe vraiment dans le bizarre système monétaire actuel, une idée saisissante nous est venue…
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EpargneInflation et récession
La crise du crédit menace toujours… en Chine et ailleurs
par Dan Denning 17 février 2014Le niveau des intérêts que les banques se font entre elles pour leurs prêts au jour le jour est une mesure de la solidité du système financier. Si les banques ne se font pas confiance entre elles, alors le crédit cesse d’entrer dans l’économie…
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Puisqu’elles n’avaient rien appris au début des années 2000, les autorités se sont remises au travail en 2008-2009, répétant et multipliant leurs erreurs. Au lieu d’accumuler des déficits de 500 milliards de dollars, elles sont passées à des déficits de 1 500 milliards de dollars. Au lieu de faire passer les taux sous l’inflation, elles les sont mis aussi bas que possible — à zéro, dans les faits. En plus, elles ont nationalisé des secteurs entiers, renfloué des grandes entreprises et se sont mises à ajouter d’immenses engagements financiers que personne ne comprenait vraiment
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Les banquiers se sont vraiment rachetés rapidement. Il y a quelques mois à peine, nous nous moquions d’eux […] Et voilà qu’ils sont à nouveau des génies. Ils peuvent le prouver, en plus… il suffit de regarder leurs bulletins de paie ! Et oubliez la possibilité de voir ces nigauds retomber dans les mêmes erreurs. Ils ont toute la confiance — et tout le crédit — des Etats-Unis d’Amérique
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En 1930, six mois après que le front orageux initial se soit éloigné, la production mondiale avait baissé de 15% environ. On en est environ au même chiffre aujourd’hui. Les marchés n’avaient perdu que 20% au milieu des années 30. Aujourd’hui, ils en sont à -35% par rapport à leurs sommets. Et le commerce mondial a diminué de 15% durant les six mois qui ont suivi l’arrivée du Krach de 1929. Aujourd’hui, il est en baisse de 25%
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Le cuivre a autant grimpé, selon les journaux, parce que la Chine achète tout ce qu’elle peut. Qu’est-ce qu’elle en fait, nous n’en savons rien. Peut-être le stocke-t-elle à ce qu’elle pense être des prix bas. Ou peut-être qu’elle se couvre. La Chine possède le plus grand tas de bons du Trésor américain au monde — pour 768 milliards de dollars. Cela fait 768 milliards de raisons de s’inquiéter. Parce que chaque T-Bond est libellé en dollars
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Nous pensons que nous devons vous informer de ce sur quoi les dirigeants du G20 sont tombés d’accord. Ils ont triplé le pouvoir de prêt du Fonds monétaire international, qui est passé à 750 milliards de dollars américains. Cela se fait principalement sous la forme de pays créditeurs, comme par exemple le Japon, qui prêtent de l’argent au FMI pour que celui-ci puisse en prêter aux pays débiteurs, comme le Mexique. Des prêts pour faire des prêts
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Les actions Bank of America ont augmenté de 14% jeudi dernier. L’histoire a été la même pour Citigroup (+18,6%) et Wells Fargo & Co. (plus de 30% d’augmentation), pour ne nommer qu’eux. Alors pourquoi se précipiter dans les mauvaises banques ? La réponse, semble-t-il, est dans la création d’une autre mauvaise banque ; la plus grosse et la pire de toutes les mauvaises banques que le monde ait jamais vue
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Oubliez Keynes. Oubliez Friedman. L’économiste que tout le monde devrait surveiller avec attention est Gideon Gono. L’inflation est de nouveau à la mode. Et Gideon Gono en est la star. Alors que les autres banquiers centraux s’enlisent, il a prouvé qu’on peut avoir de l’inflation… et en avoir plus abondamment qu’on le souhaite
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Depuis les années 90, le développement des entreprises par voie de fusions et d’acquisitions est en pleine expansion. Le montant total annuel des transactions concernées volait de record en record. Jusqu’au coup d’arrêt de 2008. 2007 s’était pourtant achevée sur des résultats exceptionnels : le marché des fusions-acquisitions avait représenté 4 170 milliards de dollars. En 2008, ce chiffre a plongé
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A la Chronique Agora, nous sommes "autrichiens" dans le sens où nous pensons que Hayek avait raison et que Keynes avait tort. Nous ne pensons pas qu’on peut contrôler le cycle économique… ni améliorer ce que produit le marché libre. Si on nous donnait carte blanche, nous dirions aux autorités de se retirer… et de laisser la "main invisible" du marché libre démêler "l’embrouillamini" actuel
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"Bernanke a également exprimé son soutien à l’idée de créer une soi-disant mauvaise banque qui permettrait au gouvernement d’acheter des actifs financiers en échange de liquidités ou de valeur", selon le International Herald Tribune hier. Et c’est là que nous avons ri si fort que nous avons cru nous briser les côtes. Créer une "mauvaise banque" ? C’est une plaisanterie