Le système ne tient plus qu’à un fil – celui de l’impression monétaire et du crédit illimité. Pourtant, un nouveau boom pourrait se produire sur les marchés boursiers… avant l’effondrement.
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Banques CentralesPolitique et vie quotidienne
La vérité sur les booms et les crises (1/2)
par Frank Shostak 19 août 2021Un boom économique est-il systématiquement suivi d’une crise de mêmes proportions ? Qu’est-ce qui nourrit le boom actuel – et faut-il s’attendre à un krach tout aussi retentissant ?
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Inflation et récession
Cycles boom/krach : ce n’est pas terminé (2/2)
par Thorsten Polleit 14 février 2020Les banques centrales sont plus interventionnistes que jamais – à tort : même avec des taux zéro voire négatifs, il est impossible de prolonger indéfiniment l’expansion économique.
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Inflation et récession
Cycles boom/krach : ce n’est pas terminé (1/2)
par Thorsten Polleit 13 février 2020Certains verraient volontiers dans la « bulle perpétuelle » actuelle la fin du cycle boom/krach traditionnel. Ils se trompent…
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Banques CentralesPolitique et vie quotidienne
Est-ce la fin du cycle boom/krach ?
par Bruno Bertez 28 janvier 2020Les banques centrales et les autorités sont prises au piège : elles ne peuvent plus assouplir leurs politiques monétaires… ni les resserrer. On s’enfonce dans la crise.
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La régulation « traditionnelle » du cycle économique – boom/krach – est en train d’évoluer de manière fondamentale… et périlleuse. Il est temps d’acheter de l’or.
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DetteIndices, marches actions, strategies
L’emploi US, une vigueur en trompe-l’œil
par Bill Bonner 11 décembre 2019Les chiffres de l’emploi américain ont provoqué une vague d’euphorie sur les marchés… mais ils dissimulent une réalité moins reluisante.
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Argent publicCroissance, pays émergents
Les plans de relance entraînent une stagnation économique : le cas japonais (2/2)
par Mihai Macovei 31 octobre 2019Le Japon s’est livré à de nombreuses « innovations » en matière de politiques de relance ces dernières années. Le résultat n’est pas encourageant…
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Croissance, pays émergentsInflation et récession
Les plans de relance entraînent une stagnation économique : le cas japonais (1/2)
par Mihai Macovei 30 octobre 2019Les gouvernements et les banques centrales continuent d’injecter de la fausse monnaie et de « relancer » leurs économies. Cela ne marchera pas – en voici la preuve historique.
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Votre correspondante s’est rendue la semaine dernière à une conférence sur les supernovae, donnée par le prix Nobel de physique, Saul Perlmutter.
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L’économie chinoise est-elle dans une bulle ? C’est très probable. Va-t-elle exploser ? Là encore, c’est très probable. En fait, on dirait même qu’elle est en train d’exploser. Après avoir mené le monde dans la phase ascendante, la Chine semble désormais le précéder dans le retour de la Grande Correction
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La bataille entre l’inflation et la déflation — le boom et le krach — fait rage depuis une décennie. Pourquoi ? Parce que les autorités essaient désespérément d’empêcher la nature de suivre son cours. Les marchés normaux ne sont jamais entièrement stables. Ils connaissent des booms et des krachs. Mais les krachs se produisent naturellement… et, généralement, rapidement. Les gens qui font des erreurs sont punis. Ils encaissent les coups. L’économie se remet
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Et si le rebond était terminé ? C’est possible… il a commencé le 9 mars. Il a donc plus de trois mois. Il est très probable qu’il se poursuive tout au long de l’été… mais qui sait ? Il y a une chose importante à se rappeler : il ne peut y avoir de grand marché haussier durable sans que l’une des deux choses suivantes ne se produise. Soit les erreurs de la Bulle Epoque doivent être éliminées… Ou bien… les gens doivent être prêts à s’endetter plus encore
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C’était bien trop facile pour nous l’an dernier… […] Tout ce que nous avions à faire, c’était de nous en tenir à notre Transaction de la Décennie — vendre les actions durant les rebonds, acheter de l’or pendant ses creux — et nous gagnions de l’argent. Une telle année n’arrive pas souvent. Nous ne nous souvenons pas nous être tant amusés
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Nous commençons à voir l’intégralité de la situation financière planétaire comme un problème américain. Il se passe beaucoup de choses… mais le noeud de l’histoire semble concerner les Etats-Unis (et la Grande-Bretagne, dans la mesure où elle partage le modèle économique anglo-saxon)… leur monnaie, leur richesse et leur place dans le monde. L’intrigue est assez simple
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Le capitalisme fait simplement ce pour quoi il est fait. Le succès mène à l’excès… puis à l’échec. En ce qui concerne le jus qui alimentait le système du crédit, il s’est vite asséché. La banque britannique Northern Rock, par exemple, valait 5,3 milliards de livres sterling l’an dernier. Lorsqu’elle a été nationalisée, il y a quelques jours de ça, elle n’en valait plus que 375 millions — une perte de 93%. Le marché des produits dérivés complexes a eu des ratés dans le monde entier… en 2008, les émissions ont diminué de 97% par rapport à l’année précédente. Les primes ont chuté à Wall Street. Les prix des maisons de campagne ont baissé
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Le génie de Reagan et de Thatcher a été de permettre au capitalisme de faire plus ou moins ses preuves. Arthur Laffer en a gribouillé les principes de base sur une serviette en papier : si les gens gardent une plus grande quantité de ce qu’ils gagnent… et ils gagneront plus. Baisser les taux d’imposition marginaux augmentera les recettes fiscales, prédit-il. Ronald Reagan simplifia les choses : que le gouvernement laisse le champ libre, et tout le reste s’arrangera. Résultat : un boom comme le monde n’en avait encore jamais vu