Les signes d’une crise budgétaire et probablement monétaire
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Une crise monétaire et obligataire couve toujours dans beaucoup de pays, malgré le calme apparent des marchés financiers.
Comment la situation pourrait-elle se résoudre et, surtout, quelles conséquences pour le cours de l’or ?
Avec un besoin de financement record de 340 milliards d’euros, la France devra convaincre les marchés sans le soutien de sa banque centrale.
L’inflation n’a pas été vaincue. Malgré les efforts de la Fed pour les faire baisser, les taux d’intérêt augmentent.
Avec leur théorie des supercycles de la dette, S&V nous offrent une carte, quoi que partielle, de notre position dans l’histoire.
Aucune situation n’est si sombre… ou si désespérée… qu’un leadership déterminé à Washington ne puisse l’aggraver.
En juillet 2020, les investisseurs ont pris conscience qu’ils pouvaient aussi bien perdre que gagner de l’argent avec les obligations du Trésor.
En 2021, le taux d’endettement a atteint 350% du PIB mondial. Qu’est-ce qui a permis à cette situation de surendettement de se prolonger ?
Le Japon, la France et les Etats-Unis sont dans des situations budgétaires désastreuses. Les gouvernements recourront aux vieilles recettes…
Les politiques doivent créer des conditions propices à la croissance et au désendettement, plutôt que de se concentrer sur des mesures superficielles.
On ne peut pas vraiment réduire les dépenses sans s’attaquer aux grands programmes de dépenses. Aucun des deux candidats n’est disposé à le faire.
Un ancien ambassadeur chinois aux Etats-Unis dévoile les signes inquiétants de la perte d’influence américaine.
Que doit-on faire pour à tout le moins empêcher la dérive des finances publiques ?
Le gouvernement fédéral aura tellement d’intérêts à payer qu’il ne pourra pas le faire. Les investisseurs voient venir le coup…
En l’absence d’un changement de cap radical, la dette américaine atteindra 130% de son PIB au cours du prochain mandat présidentiel.
Si l’on mesurait l’inflation comme on le faisait pendant les années Reagan, on verrait que le PIB est en chute libre.
Quels sont les moutons que l’Etat compte tondre encore plus ras ?
Lorsque le passé prend le dessus sur le présent, le futur est condamné…