Les baby-boomers, moins à l’abri qu’ils le pensent
Les baby-boomers ont la part du lion sur tout – pouvoir, statut, richesse, confort… mais sont-ils vraiment aussi bien installés qu’ils le pensent ?
Les baby-boomers ont la part du lion sur tout – pouvoir, statut, richesse, confort… mais sont-ils vraiment aussi bien installés qu’ils le pensent ?
La monnaie, la quasi-monnaie, les bulles… tout est entièrement déconnecté de la réalité – et tout le monde s’y est habitué !
Les coûts des politiques mises en place suite au coronavirus commencent à s’accumuler – et les suppressions d’emploi ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
Le monde va mal – mais il n’allait déjà pas très bien avant l’arrivée du coronavirus… et son état ne s’améliorera pas même après la fin de la pandémie…
Donald Trump et Joe Biden ont beau échanger des insultes, ils représentent la même chose et courent après le même but.
Nos dirigeants ont commis une erreur criminelle dans leur gestion (si on peut appeler ça comme ça…) de crise – aggravant une situation déjà très grave.
L’or est presque parfait… mais présente quelques risques malgré tout. Existe-t-il mieux ? Et si oui… où donc ?
Le dollar est en mauvaise posture : déflation d’abord, inflation ensuite – et pendant ce temps, l’or devrait grimper.
Réduire les déficits ? Payer ses dettes ? Rétablir un semblant de « normalité » ? Non, pas tout de suite… creusons encore un peu d’abord.
Y a-t-il encore des gens pour croire les sottises débitées par la Fed et les autorités financières ? (À part les médias grand public, évidemment…)
L’Argentine fait défaut sur ses dettes, et pendant ce temps, les Etats-Unis perdent la tête : le vieux tacot n’ira plus très loin…
La déconnexion entre les perspectives économiques et les marchés s’accentue ; la Fed va devoir intervenir massivement… mais les intervenants ont besoin d’une pause pour digérer.
Les Etats-Unis ne vont pas très bien ; parmi les laissés-pour-compte de la crise actuelle, il y a l’emploi… et un autre élément fondamental de l’économie.
La crise est bien réelle – elle est même déjà là. Mais beaucoup n’en sont pas conscients… voire préfèrent se voiler la face.
Les dépenses publiques vont largement dépasser le cap historique des 60% du PIB en 2020. Mais le gouvernement ne compte que sur la reprise en 2021 pour réduire leur poids, sans s’attaquer aux dépenses inutiles – et il programme déjà de nouvelles dépenses…
Le déclin de l’empire américain a-t-il vraiment commencé en l’an 2000 ? Bill Bonner est à la recherche de preuves…
La politique monétaire de la Fed est en train d’échouer – et avec elle, c’est tout le système qui risque de s’effondrer. Or les banques européennes sont en première ligne…
Votre épargne est dans une situation paradoxale : seule la crise assure sa pérennité – tout retour de la prospérité signifierait sa ruine.