Les questions que Wall Street refuse de se poser (1/2)
Un bilan de l’été… des matières premières en pleine forme… et des questions budgétaires qui risquent fort de venir embarrasser les marchés dans les prochaines semaines.
Un bilan de l’été… des matières premières en pleine forme… et des questions budgétaires qui risquent fort de venir embarrasser les marchés dans les prochaines semaines.
L’inflation continue d’inquiéter les marchés ; désormais, tout va dépendre de la politique des banques centrales, et les intervenants ne sont guère confiants…
Les indices boursiers progressent bien plus vite que l’économie qu’ils sont censés représenter – et certains en profitent largement. Comment en est-on arrivés à une telle situation ?
Après la tech, la blockchain et les meme stocks, les investisseurs et les spéculateurs sont prêts à passer à autre chose. Même les institutions les plus augustes s’y mettent…
Pour l’instant, les marchés boursiers tiennent malgré les anomalies consternantes qui y pullulent, avec le soutien des banques centrales. Mais la pourriture continue de se répandre…
En ces temps d’argent facile, le bon sens et l’investissement par la valeur sont dépassés. Désormais, ce qui compte, c’est le prochain gros coup, LE secteur « disruptif », le placement qui rapportera toujours plus, toujours plus vite.
Les rachats d’actions, présentés comme une source d’abondance infinie pour les investisseurs, ne semblent plus aussi efficaces que par le passé… Le signe que le vent tourne ?
Beaucoup d’analystes envisagent un scénario optimiste, avec une économie « ni trop chaude, ni trop froide », à la Boucle d’or… mais il se pourrait bien que leurs souhaits soient contrariés.
« Ni trop chaud, ni trop froid », telles sont les conditions économiques appréciées des marchés, basées sur le conte de Boucle d’or. C’est oublier un peu vite que ledit conte est basé sur un vol pur et simple (doublé d’une effraction…).
Et si la crise ne se produisait pas comme prévu ? Si, à la place, une reprise vigoureuse se produisait… poussant les autorités à prendre des mesures qui déplaisent aux marchés ? Quand tout est faussé, les bonnes nouvelles deviennent mauvaises…
Les difficultés d’Evergrande ne sont que la pointe émergée de l’iceberg : les répercussions sont vastes et – tout comme en 2007/2008 – une seule entreprise pourrait tout faire basculer au niveau mondial.
Historiquement, octobre est le mois des catastrophes boursières. Sauf que… dans l’ombre du calendrier se profile un autre mois, très discret mais bien plus dangereux…
La hausse des marchés a généré un « effet richesse » sans précédent, un peu partout dans le monde. Seul souci : cette richesse est quasi-entièrement imaginaire…
Les marchés connaissent un mois de septembre bien agité… et, historiquement, octobre est pire encore : faut-il s’attendre à un krach le mois prochain ?
Un détournement de fonds mondial se déroule depuis des années dans l’économie mondiale. Jusqu’à présent, cette « arnaque en pyramide » donnait l’impression d’enrichir tout le monde, mais des fissures commencent à apparaître dans l’édifice…
De grands investisseurs institutionnels avertissent d’un krach imminent sur les actions : pourquoi, et faut-il vraiment leur faire confiance ?
Les marchés sont vulnérables… très vulnérables. Les banques centrales semblent être parvenues à « interdire » toute baisse, mais cette capacité repose sur un mythe, une fausse croyance qui peut disparaître à tout instant.
Un critère est essentiel dans le choix de vos investissements – et en ce moment, il n’est guère positif pour la future rentabilité de votre portefeuille : soyez vigilant…