La planification centrale, seule solution pour résoudre les problèmes environnementaux ? (1/2)
Les décideurs politiques de l’UE devraient envisager une nouvelle approche pour tacler le problème.
Avocat de formation, Pieter a pratiqué le droit en Belgique et a travaillé en tant que conseiller de cabinet et rédacteur de discours pour le secrétaire d'État belge. Il a également été analyste à l'Itinera Institute de Belgique, qu'il a contribué à fonder. Aujourd'hui, ses écrits dans lesquels il commente la politique européennes sont relayés dans plusieurs médias européens (The Telegraph, BNR Radio aux Pays Bas, Brussels Report, etc). Il est également chercheur au think tank américain Property Rights Alliance.
Les décideurs politiques de l’UE devraient envisager une nouvelle approche pour tacler le problème.
L’UE doit-elle vraiment être un acteur de la politique étrangère ?
L’OMS, qui s’est lancée à corps perdu dans la narration non scientifique des passeports COVID et autres, devrait peut-être commencer par faire un peu d’introspection.
La Suède est l’un des seuls pays qui n’a pas confiné sa population, et cette politique pourrait bien avoir été la plus efficace.
Une fois que les gouvernements européens et africains se seront entendus pour mettre un terme aux flux migratoires illégaux, ils devraient envisager des liens économiques plus étroits.
Le consensus européen sur la politique climatique s’effiloche, et les divisions pourraient se préciser d’ici les élections de l’an prochain.
Plus largement, l’UE est-elle en train de passer à côté des opportunités commerciales en Asie ?
La Commission européenne ne fait rien pour protéger les entreprises des pays membres du protectionnisme de certains.
La Commission européenne serait-elle le premier obstacle à l’ouverture du marché des services de l’Union ?
Les politiques environnementales de l’Union européenne sont une feuille de vigne pour le protectionnisme.
S’aliéner des partenaires commerciaux n’aidera pas l’Europe à réduire sa dépendance envers certains pays.