Comment la propagande de guerre a façonné la politique étrangère américaine depuis un siècle (1/2)
Depuis la première guerre mondiale, la propagande de guerre est devenue un pilier de la politique étrangère américaine.
Depuis la première guerre mondiale, la propagande de guerre est devenue un pilier de la politique étrangère américaine.
La percée de Mamdani cristallise la fracture d’un pays où le compromis n’a plus sa place.
Derrière les slogans pour « sauver la planète », des entreprises bien placées transforment réglementations, subventions et taxes en rentes garanties.
On ne peut pas en même temps « refaire les rues » et « faire les boutiques » !
Entre vérités officielles, calculs stratégiques et illusions diplomatiques, le brouillard de la guerre s’épaissit.
Pour Donald Trump, c’est un « succès militaire spectaculaire » ; pour d’autres, le signal d’un basculement.
Derrière les discours martiaux et les impératifs de souveraineté, c’est surtout l’industrie militaire américaine qui se frotte les mains.
Si les Français refusent l’austérité maintenant, elle leur sera imposée demain, par les marchés ou – pire – par le FMI.
L’Iran brandit la menace de fermer le détroit d’Ormuz après les frappes américaines sur ses sites nucléaires.
Alors que les conflits au Proche-Orient ne semblent pas sur la voie de l’apaisement, l’implication des Etats-Unis risque de tout faire basculer.
Trump est pris entre deux fronts – l’Ukraine et l’Iran – au moment où le monde bascule.
Donald Trump a eu droit à sa parade. Pas d’émeute, pas de martyre, pas de tanks défiés par des citoyens héroïques.
Depuis 2004, les passagers aériens européens bénéficient d’une indemnisation obligatoire en cas de retard.
Alors que le conflit Israël-Iran s’intensifie, l’indifférence des marchés interroge.
Et si l’expulsion des immigrés n’était pas une solution, mais le début d’un problème bien plus vaste ?
Lorsque l’Etat américain se sent menacé, il suspend les droits, ferme les journaux, et envoie ses troupes…
Plus que jamais, les marchés se targuent d’acheter au son du canon.
Entre insultes, menaces et sondages en ligne, le duel Trump-Musk vire à la téléréalité.