"Dans les mémos de réunions confidentielles des hauts dirigeants financiers, la SIFMA a annoncé avoir entamé ce mois-ci la ‘phase d’exécution’ d’une opération qui vise à intégrer le changement’ et la responsabilité". Pour mener à bien cette campagne du "changement" et de la "responsabilité", Wall Street va mettre des dizaines de milliers de dollars dans des sondages, des entreprises de relations publiques et autres gestionnaires d’image
Wall Street
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Le Nikkei demeure plus de 50% en dessous de son niveau record en 1989. Se pourrait-il qu’une version identique de ce triste scénario se déroule aux Etats-Unis ? Bien évidemment. Pourquoi pas ? Mais si la Bourse américaine devait avoir le malheur d’imiter le Nikkei, la route à faire ensuite sera longue et douloureuse
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Epargne
Indice du Michigan : la confiance américaine dans le lac !
par Philippe Béchade 15 juin 2009L’OMS a relevé son niveau d’alerte sanitaire au niveau 6. Un niveau qui implique des mesures contraignantes pouvant impacter l’activité économique des pays qui appliqueraient l’ensemble du dispositif de lutte contre les épidémies. Les marchés avaient complètement perdu de vue cette problématique […] mais à la Bourse de Paris par exemple, c’est le titre Sperian Protection qui s’est distingué avec un gain hebdomadaire de 10%
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Tout valant soudain mieux que le dollar depuis mercredi dernier, le baril de pétrole light sweet crude livraison juillet grimpait de 59 $ vers 61,5 $… et de nombreux spécialistes l’attendent au-delà des 65 $ d’ici la fin du premier semestre. Quant à l’or — qui flirte avec les 960 $ l’once — le retracement des 1 000 $ ne devrait constituer qu’une formalité
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Tous les jours, les beaux parleurs sont à la télévision… les éditorialistes sont dans les journaux et les magazines… et les économistes vantards sont dans tous les parlements du monde. "L’inflation, c’est bien", disent-ils. Nous sommes prêts à faire "tout ce qu’il faudra" pour que les prix recommencent à grimper, déclare Tim Geithner, nouveau secrétaire au Trésor US. Que faudra-t-il ? Les économistes et les décideurs en débattent
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La performance hebdomadaire de l’or noir s’élève à -21% — c’est la pire de l’histoire (après les -13,5% de la dernière semaine de septembre) alors que les plus folles hypothèses de cours circulent désormais à l’horizon du 31 décembre (25 $, voire moins). Les valeurs liées à l’énergie ont été laminées
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C’est tout juste si les gens ne vous crachent pas dessus dans la rue. Ils vous rendent responsable de leurs pertes… ils vous accusent d’avoir kidnappé leur retraite… d’avoir ruiné l’économie du monde entier. Vous étiez un héros, voilà que vous êtes un minable. Les marchés continuent de chuter. L’inflation des prix à la consommation américaine a connu cette semaine la plus grande baisse de son histoire
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Triste 11 novembre ; triste actualité économique ; triste météo boursière en Asie, en Europe et aux Etats-Unis avec l’arrivée d’un front dépressionnaire du côté de la consommation avec un cinquième recul consécutif des ventes de détail en Angleterre au mois d’octobre — le plus marqué depuis l’automne 2005 — et le plus faible nombre de transactions immobilières jamais observé
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Epargne
Rachat en série des totems de Manhattan, actions américaines crucifiées
par Philippe Béchade 10 juillet 2008Mardi midi, Ben Bernanke a de nouveau promis d’aider les banques tant que cela s’avérera nécessaire. Les opérateurs en ont déduit que si la Fed prenait un engagement aussi ferme, c’est qu’elle estimait que la crise est loin d’être terminée
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Epargne
La cote des actions françaises suit-elle celle des Bleus à l’Euro ?
par Philippe Béchade 16 juin 2008Le mois de juin reste un bien mauvais cru boursier pour le CAC 40 qui recule de 6,6% et efface les gains cumulés des mois d’avril et mai (+6,15 et +0,35%). Il a même retracé son plancher de clôture du 23 janvier dernier (4 636 points) avant de s’enfoncer jusque vers 4 615 points — soit -7,5% en 10 séances, une redoutable moyenne ! Mais ce qui caractérise la semaine écoulée, c’est la sous-performance systématique du CAC 40 par rapport aux autres indices européens
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Le B&B évoqué dans le titre ne concerne pas — vous l’aurez deviné — un Bed & Breakfast peu recommandable mais une certaine banque britannique, Bradford & Bingley, spécialiste du crédit immobilier et que nous avons déjà mentionnée dans un paragraphe précédent. Cette rivale de Northern Rock — ce nom vous évoque certainement quelque chose… comme des files d’épargnants venant retirer dans l’urgence leurs économies en espèces avant que, l’automne dernier, Gordon Brown n’autorise la Banque d’Angleterre à nationaliser l’établissement — ne serait guère en meilleure posture
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Bernanke devrait avoir honte d’être encore assis là. Vous savez, j’ai lu le Federal Reserve Act. Il n’y est écrit nulle part que [la Banque Centrale] est censée renflouer les banques d’affaires ! Il n’y est pas écrit non plus qu’on doit renflouer Wall Street. Leur mission, c’était de garder une devise solide, puis de créer de l’emploi — d’aider l’emploi. Mais il n’est dit nulle part "renflouez les banques d’affaires".
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Ben Bernanke ne se montre pas plus rassuré que nous et il a décidé de sortir le grand jeu par deux fois en l’espace d’une semaine, réduisant le loyer de l’argent de 125 points de base de 4,25% à 3%. Tout cela dans le but de réduire le "stress considérable affectant les marchés financiers face à l’enlisement de la crise immobilière", sans parvenir à restaurer la confiance
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Ah ! Qu’ils étaient rayonnants les visages des commentateurs vendredi soir au moment de la clôture de Wall Street ! Le S&P-500 venait de battre de 5 points son précédent record historique de la mi-juillet, et le Dow Jones effectuait une nouvelle incursion au-delà des 14 100 points (avant d’en reperdre une cinquantaine au cours de la dernière demi-heure). A n’en pas douter, la suite du quatrième trimestre 2007 s’annonçait glorieuse et les angoisses liées à la crise du subprime s’estompaient en même temps que les craintes de voir le marché du travail sombrer dans le sillage des transactions immobilières