Jackpot empoisonné : l’Europe joue-t-elle la partie de trop ?
« Same player shoots again » ou game over ?
« Same player shoots again » ou game over ?
Nous dirigeons-nous vers un tournant diplomatique et financier sans précédent depuis Yalta ?
L’Occident a acquis sa position dominante grâce à la technologie. Il disposait de plus de machines et d’une plus grande puissance de feu que ses rivaux.
Entre accusations de fascisme, de dictature et de collusion avec la Russie, l’ex-président est décrit comme une menace pour la démocratie.
Extraits de l’interview de Tucker Carlson…
Depuis 2020, le pouvoir russe a accéléré le mouvement en direction d’une société moins libre, avec toujours les mêmes arguments pour soutenir ces évolutions. Jusqu’où ira-t-il ?
L’administration Trump est ignorante : de sa dette, du rôle de la Russie dans l’économie de son pays, du coronavirus… Le chaos guette.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la « bulle de tout » n’est pas réellement menacée pour l’instant. Le pétrole, de son côté, vient compliquer la situation du crédit.
En politique, les vacances d’été sont l’occasion idéale pour en remettre une couche au sujet des valeurs que l’on prétend incarner.
Macron ne soutient pas le libre-échange, mais une version européenne du protectionnisme par réglementation plutôt que par taxation…
Après avoir mis le cap à l’ouest pour nos vacances familiales en 2013, nous avons décidé d’effectuer un rééquilibrage géographique pendant que les Publications Agora prenaient leurs quartiers d’été. Cap à l’est cette fois-ci — et plus précisément Saint-Pétersbourg, la Neva et sa région…
▪ « Le pétrole au Groenland serait un désastre ». Détrompez-vous, l’auteur de cette phrase n’est pas le porte-parole de Greenpeace, des Amis de la Terre ou d’un militant d’EELV, mais bien Christophe de Margerie, le patron de Total.
Puisque les marchés américains étaient clos ce lundi pour cause de Présidents’ Day, l’occasion était idéale pour élargir notre réflexion sur les matières premières. Nous allons donc aborder une thématique qui nous est chère, à savoir le basculement pétro-stratégique — qui englobe le gaz — du Proche-Orient (contrôlé de façon de plus en plus chaotique par les Américains depuis 2003) vers la Russie et l’Asie Centrale
A chaque fois qu’un accès de déprime plombe les indices et provoque un mouvement de repli jugé excessif, l’espoir d’un rebond technique est systématiquement déçu. Les vendeurs restent à l’affût de la moindre opportunité — un sursaut de 1% suffit à leur bonheur ! — et la tendance baissière reprend quasi inexorablement le dessus depuis le 28 décembre dernier