Les OPA passent et ne se ressemblent pas : la multiplication des opérations de rachat ces derniers temps est-elle une opportunité ou une calamité pour l’investisseur particulier ?
Véolia
-
-
Indices, marches actions, strategies
Ce n’est pas parce que le marché est c*** que nous devons faire comme lui !
par La rédaction 5 août 2011« Ce n’est pas parce que le marché est c*** que nous devons faire comme lui ! » Voilà, en synthèse, ce que Philippe Béchade me disait à l’instant au téléphone. « Nathalie, écoutez : on entame une onzième séance de baisses consécutives ; on perd 20% sur le CAC 40 ; certains titres ont perdu 50% sur un mois. On ne va quand même pas VENDRE le marché !
-
Indices, marches actions, strategiesPhilippe Béchade
Il faut acheter le marché maintenant
par Philippe Béchade 5 août 2011Contrairement aux marchés, nous n’avons pas toujours raison… Et c’est souvent ce qui distingue l’imbécilité de la capacité d’éviter les pièges les plus grossiers. Les intervenants sont à présent saisis d’une peur viscérale de voir la crise de la dette des PIGS contaminer l’Italie. Ils ont peur que la BCE ou la Fed n’aient plus les moyens de réagir. Ils ont peur que les pays occidentaux s’enfoncent dans la récession…
-
La performance hebdomadaire de l’or noir s’élève à -21% — c’est la pire de l’histoire (après les -13,5% de la dernière semaine de septembre) alors que les plus folles hypothèses de cours circulent désormais à l’horizon du 31 décembre (25 $, voire moins). Les valeurs liées à l’énergie ont été laminées
-
La chute de 40% à 50% enregistrée par les indices occidentaux en tout juste 12 mois constitue-t-elle une porte d’entrée historique pour des investisseurs qui parient sur une remontée des marchés à moyen terme ?… A moins que le prochain rebond de 10% ou 15% des indices ne soit le dernier soupirail par lequel prendre la fuite avant que l’Eurofirst 300 ou le S&P 500 perdent 50% de leur valeur, à l’image d’un AIG ou d’un Lehman ?
-
Epargne
Espoirs de rebond K.-O…. mais les raisons de la capitulation sont peu claires
par Philippe Béchade 23 juin 2008Nous étions convaincu que la lutte des bulls contre les bears était sur le point de trouver son épilogue… et le moment pouvait difficilement être mieux choisi que le vendredi 20 juin, avec l’expiration des options et contrats sur indices et options (mensuelles, trimestrielles et même semestrielles). Dès jeudi soir, nous étions effectivement parvenus à un tournant.
-
Aujourd’hui, l’intérêt industriel et financier pour l’énergie à base de vent ne se dément pas. La fameuse notion de "développement durable" et son corollaire d’énergies renouvelables est la cause première de l’émergence de ce secteur. S’il est apparu avant, et reste dominant relativement à d’autres énergies alternatives (solaire, biomasse…), c’est sans doute que l’éolien a bénéficié très tôt de deux puissants soutiens
-
La parenthèse haussière de mercredi à Wall Street — en pleine déferlante de mauvaises statistiques économiques et sur fond de pessimisme de la Fed — avait entretenu l’espoir que de nombreux facteurs négatifs étaient pricés dans les cours. La séance de jeudi dernier a été marquée par une tentative de reprise en main du marché par les acheteurs… mais de nouveaux chiffres américains sont venus semer le doute dans les esprits au sujet d’un risque de récession contaminant l’Europe
-
Quoi qu’on en pense, dans les années qui viennent, le "mix énergétique" mondial va dépendre de plus en plus de l’agriculture… Et l’eau est au cœur de la question. Le secteur agricole pèse à lui seul 70% de la consommation mondiale. Les carburants verts ne se feront pas sans eau… et l’exemple de la Mer d’Aral, asséchée en une décennie par l’irrigation massive, nous rappelle qu’il n’y en aura pas pour tout le monde