Les taux d’intérêt bas imposés par la Fed favorisent-ils la croissance économique ?
Contrairement à ce que pense Donald Trump, baisser les taux d’intérêt ne stimule pas durablement l’économie.
Contrairement à ce que pense Donald Trump, baisser les taux d’intérêt ne stimule pas durablement l’économie.
Derrière les exploits boursiers, les signaux d’alerte s’accumulent : dette, spéculation, déséquilibres… et une bulle prête à éclater.
Plus les gouvernements interviennent, plus la liberté économique se rétrécit – et la prospérité avec elle.
Nous levons le voile sur ce que nous pensons être le futur le plus probable de la finance américaine : un avenir façonné par deux hommes…
Longtemps envisagée comme un délire de goldbug, l’hypothèse d’un contrôle de la courbe des taux aux Etats-Unis est en train de devenir mainstream… Comment le cours de l’or réagirait-il dans un tel scénario ?
Deux chocs majeurs secouent l’actualité : d’un côté, les chiffres de l’emploi américain (NFP) ; de l’autre, un scandale politico-médiatique…
La perspective d’une baisse des taux par la Fed réjouit les marchés, mais elle pourrait bien réveiller le spectre de l’inflation.
Le boycott des dettes long terme a débuté, et cela ne va pas bien se terminer.
Depuis plus d’un siècle, la Réserve fédérale n’a jamais rempli les mandats que lui a confiés le Congrès.
Derrière les arbitrages hésitants de la Réserve fédérale, un scénario de rupture se dessine : celui d’un accident soudain sur les marchés obligataires.
Résurgence macabre des guerres commerciales, menaces tarifaires, coup de pression inédit sur la Fed… et un scandale explosif…
La dernière exigence de Trump sonnerait le glas du Dollar et du système financier mondial.
Pour les finances publiques, la désinflation est un coup de massue ; dans moins de cinq ans, le coût moyen de notre dette actuelle aura dépassé les 3 %.
Tous les signaux pointent vers une politique monétaire que l’on ne peut plus qualifier d’accommodante, mais bien d’exubérante.
La Fed semble s’entêter dans une politique de taux élevés, au risque d’asphyxier l’économie américaine. Une stratégie isolée à l’échelle mondiale…
Après une période de volatilité post-électorale, les fondamentaux restent solides et plaident en faveur d’une poursuite de la hausse.
La Fed semble assumer l’accélération de la masse monétaire, malgré une inflation persistante et une dette publique croissante.
La Banque centrale européenne traverse une crise sans précédent. La remontée brutale des taux d’intérêt a fait exploser son déficit…
