Théorie keynésienne : brisons les mythes sur l’inflation et les taux d’intérêt
Keynes a donné aux gouvernements l’excuse parfaite pour interférer dans l’économie. Les gouvernements pourraient-ils renoncer volontairement à un tel pouvoir ?
Keynes a donné aux gouvernements l’excuse parfaite pour interférer dans l’économie. Les gouvernements pourraient-ils renoncer volontairement à un tel pouvoir ?
Les anticipations optimistes de baisse des taux d’intérêt sont remises en question, ce qui augmente le risque de correction des prix des actifs.
La hausse de l’inflation, les marchés vacillants et une grande perte qui se profile…
Les banques centrales sont-elles en mesure d’anticiper correctement l’inflation et d’ajuster leur politique monétaire en conséquence, malgré leurs erreurs de prévisions historiques ?
Un début d’année record, un stress qui baisse doucement et un rallye haussier qui reprend de plus belle !
Des dépenses à pleine allure pour l’année électorale.
Les marchés ont-ils fini d’escalader le « mur de la peur » ?
A moins que les taux d’intérêt n’atteignent des niveaux très élevés, il n’est pas judicieux d’immobiliser son argent dans des obligations dont l’échéance dépasse quelques années.
Les marchés financiers anticipent un retour des assouplissements monétaires et des mesures de relance.
Dettes, déficits et défaillances… les Etats-Unis s’enfoncent dans le gouffre.
Le déclin de l’empire américain, le dynamisme politique de Trump, et d’autres guerres impossibles à gagner…
Les banques, comparativement à la crise de 2008, sont aujourd’hui financièrement plus solides, mais doivent faire face à de nombreux défis et une baisse de leur rentabilité.
Que va-t-il se passer pour le dollar américain ?
Les Etats-Unis sont sur tous les fronts.
Nous assistons à la pire liquidation jamais observée sur le marché obligataire…
Les emprunteurs doivent se méfier d’une chute de la valeur de leurs actifs acquis à crédit en dessous de la valeur des prêts ayant servi à les financer.
Les obligations mondiales chutent, les actions s’effondrent et… des craquements se font entendre.
Nous sommes arrivés au bout de la phase qui a commencé en 2009… Mais attention, nous ne pouvons pas nous permettre de le dépasser !