taux négatifs

L’aberration des taux négatifs est possible parce que le système monétaire et financier peut se passer d’épargne. Ce qui permet à la France de nous enfoncer dans la dette…

Apparition des taux négatifs, succès du bitcoin et élection de Donald Trump furent les trois surprises de 2017. Qu’en déduire pour 2018 ?

La dette souveraine à 100 ans trouve des acheteurs. C’est – avec les taux négatifs – le signe de la dégénérescence du système financier…

La Fed est pressée d’arriver à remonter ses taux pour pouvoir mieux les baisser en cas de récession. Si la récession arrive avant, il faudra en passer par les taux négatifs…

Même dans un monde absurde de taux négatifs, il reste un peu de logique. Si les banques centrales ne rachètent plus tout, le marché prend peur…

L’étrange univers des taux négatifs – une insulte au plus élémentaire bon sens – et la santé des banques – restent nos préoccupations du moment…

Les mouvements du gold s’expliquent par l’usage de la monnaie falsifiée. Les taux négatifs sont la preuve du désordre monétaire qui règne…

Le nombre d’obligations à taux négatifs se multiplie à nouveau. Sommes-nous face à une supernova financière ?

Les banquiers centraux n’apprennent rien de leurs échecs répétés au Japon et en l’Europe. La Fed rêve de mettre les taux sous pilote automatique grâce à une formule magique. Préparez-vous au pire…

Le Japon continue de déconcerter et d’étonner : 85% des obligations d’Etat japonaises ont maintenant des rendements négatifs. C’est comme une sorte de turbo destructeur de richesse qu’on ne pourrait arrêter…

On a appris il y a quelques jours que la Banque mondiale prêtait plus d’argent que jamais… que le Japon avait décidé d’aller encore plus loin dans la bêtise avec encore plus de taux négatifs… et que le Fonds monétaire international encourageait ses petits poussins à rentrer dans le terrier du renard…

Je partais du principe que, dans l’Histoire, toutes les bêtises financières avaient déjà été faites. Grave erreur. Les taux d’intérêt négatifs sont une nouveauté…

Aujourd’hui, nous examinons les deux personnes les plus innovantes de la politique américaine, Donald Trump et Bernie Sanders… et nous essayons de voir s’il y a un lien avec les taux négatifs.

Les taux négatifs sont une triple absurdité : premièrement, la devise est factice. Deuxièmement, l’emprunteur est insolvable. Troisièmement, le taux d’intérêt vaut littéralement moins que rien.

« On paie des gens pour garder notre maison ou pour garer notre voiture », nous écrit un lecteur. « Pourquoi ne pas payer quelqu’un pour surveiller notre argent ? »

Il ne vous aura pas échappé que ces derniers temps, M. le Marché doute de la faculté des banques à gagner de l’argent dans un monde cruel de taux négatif. Il n’a pas tort. S’il faut payer pour avoir le droit de prêter son argent, on en a la tête toute tourneboulée et les neurones qui se tricotent…

Ces 2000 dernières années, ce n’est que brièvement, par épisodes, que le monde a flirté avec une devise fiduciaire, purement « papier ». A chaque fois, l’histoire s’est terminée rapidement sur des regrets durables…

Officiellement, Mario Draghi, Janet Yellen, Shinzo Abe etc. ne veulent que notre bien économique. A la tête des banques centrales de leurs pays ou zones monétaires donnés, ces banquiers centraux sont chargés de fixer « le prix de l’argent » qui est aussi le prix du crédit.