Nous sommes passé à la télévision la semaine dernière. La chaîne CNBC nous avait invité dans leurs studios parisiens. Nous étions seul dans une pièce, équipé d’une oreillette, un écran de télévision devant nous. Nous nous sommes demandé ce qu’ils voulaient nous demander. Une fois la question posée, nous sommes resté perplexe. Nous n’étions pas préparé à une telle quantité de suppositions floues dans une seule interrogation…
relance
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Indices, marches actions, strategies
Shanghai Composite : la Chine au coeur des enjeux de ces prochains mois
par sebastienduhamel 17 juillet 2012▪ Le taux de croissance de l’empire du Milieu pour le second trimestre 2012 a été publié vendredi dernier. Il s’inscrit en progression de 7,6%, proche des attentes des analystes. C’est certes un léger ralentissement, mais cela ferait bien sûr pâlir d’envie n’importe quel pays européen.
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Inflation et récession
La rémunération des PDG US menace la relance de l’économie
par Bill Bonner 19 décembre 2011▪ Que voyons-nous là ? Christine Lagarde, chef du FMI, a déclaré la semaine dernière que les pays du monde devaient travailler de concert pour éviter une dépression semblable à celle…
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Epargne
Zéro pointé pour l'emploi US… et pour les mesures de relance d'Obama
par Bill Bonner 8 septembre 2011▪ Pauvre M. Obama. On l’appelle le « Président Zéro ». Pourquoi ? Parce que le mois d’août a produit zéro nouvel emploi aux Etats-Unis.
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Inflation et récession
Toutes les actions de relance de la Fed échoueront à faire repartir la croissance
par Bill Bonner 1 septembre 2011▪ Le rôle des marchés, c’est de ridiculiser les analystes boursiers. Par conséquent, si l’on veut donner des prévisions astucieuses, il faut faire preuve de prudence. Il ne faut pas être trop précis dans ses prédictions. On peut dire quelle direction les prix vont prendre. Ou quand. Mais pas les deux.
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"La relance américaine a dépouillé nos petits-enfants", écrit Darrell Issa, membre du Congrès US, dans le Financial Times. Nous sommes surpris. Nous ne pensions pas que quiconque, au Congrès US — à part Ron Paul — avait la moindre idée de ce qui se passe. M. Issa semble être une autre exception
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"La reprise économique a été favorisée en grande partie par les dépenses des personnes les plus aisées. A présent, même les riches semblent se serrer la ceinture". "A la fin de l’année dernière, les ménages aux revenus les plus élevés ont commencé à dépenser avec plus de confiance, tandis que d’autres consommateurs restaient sur la réserve. Mais leur confiance a reflué depuis, selon les rapports sur les ventes de détail et certaines analyses économiques"
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"Augmentations d’impôts. Réduction des dépenses". Voilà le nouveau slogan européen. L’OCDE le suggère. Le FMI l’exige. Les politiciens le promettent. Mercredi, l’Italie a par exemple annoncé une réduction des dépenses à hauteur de 30 milliards de dollars
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Epargne
La magie des nouvelles technologies… et de la croissance à l'américaine
par Bill Bonner 7 avril 2010Larry Summers, conseiller économique à la Maison Blanche, jubile. Il a vu les derniers chiffres de l’emploi vendredi. Ils content l’histoire d’une économie que M. Summers pense voir décoller vers la stratosphère, avec 162 000 nouveaux emplois créés en mars. Alléluia… toutes ces interventions des autorités portent enfin leurs fruits ! Heureusement que Summers était aux commandes. Si ça n’avait pas été le cas… eh bien, l’économie aurait dû se débrouiller seule… ici sur la planète Terre… tout comme elle l’a fait pendant des siècles avant que les autorités n’en prennent le contrôle durant la Grande Dépression (ou peu après)
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La relance offerte par les dépenses gouvernementales est bidon. Mais elle semble bien réelle aux masses. Si on la fait disparaître, les conséquences économiques apparaîtront bien réelles elles aussi. La "destruction créatrice" du marché pourra enfin s’exprimer. Les entreprises qui devraient faire faillite feront faillite. Les spéculateurs qui devraient perdre de l’argent perdront de l’argent. Ça va saigner, en d’autres termes
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La politique monétaire ne sert à rien (les banques ne prêtent pas ; les consommateurs ne veulent pas emprunter). Et la politique budgétaire, bien qu’apparemment plus efficace, détruit la richesse, elle ne l’augmente pas. Plus le gouvernement augmente les dépenses, pour compenser la correction, plus l’économie en devient dépendante. Cela revient à soigner un alcoolique en lui donnant de l’héroïne. Otez les dépenses gouvernementales — comme le Japon l’a tenté — et l’économie sombre dans une dépression plus profonde. Non seulement ça, mais le déficit budgétaire se creuse
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Nous rappelons aux lecteurs qu’en dépit des gros titres, les Etats-Unis et une bonne partie du monde vivent une dépression économique. En d’autres termes, ils sont confrontés à une longue période d’ajustement… durant laquelle les erreurs et les illusions de la précédente période de bulle doivent être purgées. Au niveau des ménages, cela implique de réduire les niveaux de dette
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Suite aux crises économiques, le Japon et les Etats-Unis ont tenté de relancer la consommation, mais sans réel succès. Pas de croissance de l’emploi. Pas de croissance des revenus. Pas de gains boursiers. Ce qui était perdu pour les deux plus grandes économies de la planète a été trouvé dans d’autres zones. L’Inde, la Chine, la Russie et le Brésil se sont développés à vitesse grand V — avec des revenus, des actions, des PIB, des prix, de l’emploi… en hausse considérable
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Nous avons appris cette semaine que l’indice des prix à la production américain a grimpé de 1,7% en août. Voyons voir… si les prix à la production grimpent, les prix à la consommation suivent, non ? Eh bien… oui… en temps normal… mais il se passe des choses étranges en ce moment
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Epargne
Vers une reprise "pousse de bambou" ou "pied de buis" ?
par Philippe Béchade 14 septembre 2009Nous assistons à une de ces périodes étranges où l’on peut soutenir une thèse et son contraire… Mais il existe une catégorie d’opérateurs qui ne se laissent pas troubler : il s’agit des acheteurs de métal précieux — l’once d’or a dépassé par deux fois les 1 000 $ l’once ces derniers jours. Et leur stratégie a le mérite de la clarté et de la constance
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Epargne
Pourquoi l'industrie financière a tout intérêt à ce que la relance fonctionne
par Dan Denning 9 septembre 2009Il est clair que le monde de la finance a toutes les raisons d’encourager les plans de relance gouvernementaux, les garanties de prêts et une baisse des taux. Cela permet de continuer à faire fonctionner la grande machine du crédit à effet de levier de l’économie financière. Et cette machine maintient le secteur des finances, bien au chaud
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Non seulement l’économie se remet… mais elle est encore plus en forme qu’avant ! HSBC, est désormais estimée à 186 milliards de dollars, selon les marchés boursiers. La Chinoise ICBC est sur ses talons, avec une capitalisation boursière de 178 milliards de dollars. Mais nous passerons sur un petit détail gênant : le fait que les banques ont perdu de l’argent ce dernier trimestre
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Selon la Banque mondiale : "les importations chinoises ont également des chances d’augmenter à un rythme plus rapide qu’avant, mais le plus gros de l’augmentation reposera sur les matières premières, les biens d’équipement, les services et des produits de consommation […]". L’Australie fait partie de ceux qui exportent ce genre de produits en Chine. Par conséquent, si l’on en croit les prévisions de la Banque mondiale, les actions australiennes pourraient s’écarter du chemin