Sauver le monde coûte très cher
Est en train d’arriver ce qui devait arriver : la dette est de moins en moins productive, « efficace ». Est-ce que cela va pour autant décourager les autorités d’y avoir recours ?
Est en train d’arriver ce qui devait arriver : la dette est de moins en moins productive, « efficace ». Est-ce que cela va pour autant décourager les autorités d’y avoir recours ?
Dernièrement, nous avons vu que la Zone euro est frappée de plein fouet par la récession. Au mois de mai, il était prévu que le recul de l’activité économique de…
Une croissance de plus en plus faible et des reprises de plus en plus molles montrent que l’économie française va… de plus en plus mal depuis les années 1960.
Alors que les économies occidentales se retrouvent dans une situation extrême, elles utilisent les mauvaises données pour prendre leurs décisions de relance.
Le PIB est généralement considéré comme une mesure fiable de la santé d’une économie… à tort ! Voici pourquoi.
Les gouvernements ont démontré qu’ils pouvaient ouvrir les vannes monétaires en grand – pourquoi s’arrêter là ? Pourquoi ne pas imprimer jusqu’à la reprise complète et totale de l’économie ?
L’effondrement français est pour l’instant invisible pour la plus grande partie du pays. L’Etat continue à injecter dans les veines du corps la morphine du chômage partiel. Mais tôt ou tard, la pharmacie sera à court d’anesthésiant, et la douleur qui viendra sera vive. Selon la commission des comptes de la Sécurité sociale, la masse salariale du pays devrait se contracter d’au moins 5% cette année : un record historique.
Une « décennie perdue » attend les Etats-Unis (et une bonne partie du monde). Qui souffrira le plus – et pourquoi ?
Les intervenants se réjouissent de la hausse boursière et des interventions des banques centrales – mais pour l’économie réelle, la réalité est toute autre.
La paralysie de l’économie française ces deux derniers mois a remis le PIB par habitant à ses niveaux de… 1995 ! Qu’en est-il alors pour votre épargne ?
La monnaie, la mémoire, le crédit… tout est dévalué, sapé, faussé dans le système actuel. Aujourd’hui, les digues commencent à craquer.
Si Donald Trump est incapable de « rendre sa grandeur à l’Amérique »… et si une récession est en chemin… faut-il rester muet ? Faut-il rester sans rien faire ? Au nom de quoi ?
Pourquoi l’Italie est-elle si différente de l’Allemagne ? Pourquoi l’Europe n’a-t-elle pas « tiré vers le haut » l’ensemble de ses économies ? La réponse tient dans un seul élément…
Le coronavirus est ce qu’il est – tout comme les mesures prises par les autorités pour le ralentir. Pour ce qui est de leurs actions en termes de relance économique, en revanche…
La pandémie de coronavirus finira par s’apaiser, voire s’éteindre. Mais qu’en est-il des dommages causés à l’économie dans son ensemble ?
Financiarisation et dérégulation, les mamelles de ceux qui nous gouvernent – et aujourd’hui, elles se transforment désormais en foyer de crise.
Les risques sanitaires liés au coronavirus sont une chose… les risques économiques en sont une autre : sur un système exsangue et fragilisé, ils auront un effet dévastateur.
La balance commerciale est envisagée au niveau national – mais il serait plus utile d’examiner le rôle des individus dans les diverses transactions.