Les banques centrales ne sont pas là pour faire plaisir
Les banques centrales se sont de plus en plus éloignées de leur rôle traditionnel – à tel point qu’on en oublie ce qu’il est… et les dangers qu’il y a lorsqu’il n’est pas rempli.
Les banques centrales se sont de plus en plus éloignées de leur rôle traditionnel – à tel point qu’on en oublie ce qu’il est… et les dangers qu’il y a lorsqu’il n’est pas rempli.
Les actifs s’envolent, les milliards pleuvent, les patrimoines augmentent… mais la richesse, la vraie, se réduit comme peau de chagrin : ne vous laissez pas prendre au piège !
On parle beaucoup de la réforme de la taxation des entreprises actuellement débattue au sein du G7 : quelles en sont les implications, et quel effet pourrait-elle avoir sur les marchés ?
La Fed a toutes les armes en main pour étouffer les marchés… et ruiner une partie des investisseurs. On est entrés dans le règne du court terme, et il va…
Nous continuons d’explorer les dessous du dossier AMC – les raisons de la hausse… et un coup de pub si retentissant qu’il pourrait ouvrir un tout nouveau niveau de folie sur un marché déjà insensé.
Le deuxième trimestre n’est pas encore achevé que l’année 2021 affole déjà les compteurs. Au cours des quatre premiers mois de l’année, les introductions en Bourse se sont multipliées à un rythme encore jamais vu jusqu’ici.
Le système financier et monétaire actuel repose sur des croyances qui sont en train de voler en éclats. La spéculation et les actions des banques centrales remettent en question jusqu’aux fondements de la société : on entre dans l’inconnu…
Le système boursier et financier actuel a du plomb dans l’aile – et cela remet en cause toutes les relations entre les intervenants en Bourse… y compris les investisseurs individuels : il va falloir repenser votre portefeuille.
Un renversement crucial s’est produit sur les marchés ; la spéculation règne, les valorisations ont perdu toute logique, mais tant que tout ça grimpe, n’est-ce pas… pourquoi s’inquiéter ?
Les déséquilibres boursiers sont tels, désormais, que la différence entre les liquidités disponibles et la réalité du marché est astronomique.
Quoi qu’en pense la presse grand public et bon nombre d’analystes, le « tout en bulle » n’a pas encore éclaté, notamment sur le marché des obligations d’Etat – mais ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.
L’inflation ne sera pas transitoire… et les cours actuels des actions ne sont pas justifiés ; au contraire, plus rien ne tient les marchés – et l’effondrement sera proportionnel aux erreurs colossales qui ont été commises.
La folie boursière se poursuit : de Dogecoin aux baskets (usagées), les intervenants se refilent les actifs les plus improbables… et font grimper les prix au-delà de toute raison.
Les absurdités se multiplient sur les marchés – et puisque les entreprises rachètent désormais leurs propres actions pour gonfler leur propre bilan, pourquoi ne pas tout simplement passer à l’étape suivante ?
Le capital exige désormais rentabilité ET plus-value ; une revendication favorisée par les politiques monétaires ultra-souples des banques centrales… mais qui sape les mécanismes de l’économie réelle.
De Greensill à Tesla, les cas emblématiques de fin de cycle se multiplient. On n’est plus très loin du dossier Enron… et de tout ce qui va avec.
L’argent coule à flots sur les marchés, mais les valorisations sont désormais trop élevées, les rachats d’actions ne sont plus intéressants et les investissements restent désespérément bas. Ce n’est pas bon signe…
Bill Bonner est-il passé à côté des meilleures opportunités du siècle… ou bien son approche macro l’a-t-elle empêché – et ses lecteurs – de subir de plein fouet les plus grandes crises, passées… et à venir ?